elle s'approche sourire aux lèvres
et dégraffe soudain son corsage gonflé de fièvres...
Ses petits seins blancs, surgissent muets de désir
dans un beau maintien que nous contemplons sans mot dire.
Elle semble avoir la trentaine et sans nul doute un côté lesbienne
vu ses oeillades répétées sur tes courbes et trésors exposés.
D'un geste de la main je l'invite à se joindre à nos corps allongés
pour ensuite bien vite finir par la déshabiller...
Elle pose en douceur son corps prometteur
Près de nous deux Pour commencer un nouveau jeu
Qui se joue à trois
Deux femmes pour toi mon roi Un bref regard entre elle et moi
Pour se mettre d'accord On s'approche alors de toi
Pour un nouveau corps à corps
A quatre pattes devant ton corps allongé
On s'avance lentement, provocant ton membre
Je couche alors mes lèvres sur ta bouche pour un baiser
Et glisse ma langue, tandis que mes mains se font tendre
Elles glissent sur ton cou, puis ta poitrine
Pendant que la très belle femme
Se penche sur ta grande et appétissante épine
Pour la mettre dans sa bouche et réveiller ta flamme
Mais voilà je suis un peu jalouse
Alors je m'en vais l'aider
Marchant en position féline sur la pelouse
Pour me placer entre tes cuisses mon bien aimé
Je me met à caresser tes bourses à nouveau pleine
Je les trouve très provocante
Je dirai même qu'elles me tente
Alors je les lèchent et les suces sans peine
Hum... que j'aime tes lèvres pulpeuses
qui gobent mes pleines bourses
et ta langue qui suit sa course
sur leur peau douce et crémeuse,
Et je fonds aussi dans la bouche
de notre invitée si peu farouche,
tant elle s'applique sur mon dard
pour en éprouver la dureté rare.
A l'attention de notre hôtesse,
je m'exclame à la ronde :
"viens me montrer ô princesse
ton joli cul de blonde !"
Joignant le geste à ma parole,
ses cuisses s'écartent en parabole
et présentent à ma bouche assoiffée
son sexe humide aux parures de blé.
De la pointe de la langue
j'ouvre sa vulve délicate :
une saveur de ginseng
envahi mon palais, y éclate !
Et de ma zone génitale
sourd un plaisir indicible :
mais ô combien visible,
dressé à la verticale,
entre vos caresses buccales
savament animales,
mêlant vos chaudes langues
contre ma chair exsangue.