- Vous êtes prête ? me demande t'il
Lentement je sens son gland se lubrifier à mon humidité et la pénétration commence, il s'enfonce dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Sa verge grossit et s'allonge dans mon ventre, je suis secouée d'un spasme. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. il m'inonde d'une douce chaleur liquide. Je ferme les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. sa verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde. Nos regards se soudent l'un à l'autre
- Vous voulez...maintenant ?
- Non...Pas encore...
La transpiration perle entre mes seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui me fouille et que j'aime.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. il s'arrete net et crispe son regard
- Attention ... Je viens !
- Oui ! Je suis prête !
Je le sens trembler et se figer face a moi. Il pousse un cri rauque, retire vite son sexe de mon ventre et son premier jet vint gicler sur mes seins, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sens qu'il défaille. Ses jambes semblent ne plus vouloir le soutenir. Je sens un flot de me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Enfin Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Les spasmes finis, je caresse sa queue ramollie qui coule sur mes seins, liberant un flot de semence . Il parait epuise. Je suis aussi epuisee que lui. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné.