La mère de Vanessa est dans sa cabine. Légèrement vêtue d'un fin déshabille de soie blanche, d'une transparence indecente. Une belle femme, comme sa fille, mais avec plus de maturité, plus de sensualité.
- Ma fille m'a dit grand bien de vous,
Elle me fixe, intensément,
- Venez donc, ne soyez pas timide.
Elle me regarde en souriant, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, son deshabillé de soie blanche baille un peu sur ses fortes poitrines, je m'approche, ses seins tremblent doucement, je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle pose doucement ses lèvres sur les miennes, se penche et ses seins viennent s'appuyer sur mon torse. Je suis totalement sous son emprise. Elle semble s’en amuser.
- ma fille vous trouve très séduisant. C'est vrai ! Vous êtes très seduisant !
Ses seins débordent d'un soutien-gorge trop petit, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Elle se tourne vers la glace, caresse ses seins, qui débordent de son soutien gorge:
- J'ai besoin de me mettre à l'aise, Pouvez vous m'aider ?
Elle me provoque. Je me débat avec l’agrafe mais finit par réussir. Elle se tourne de nouveau vers moi. Elle reste bien dix secondes froidement devant moi poitrine nue. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température. Nous restons un long moment face à face, sans parler.
- Eh bien ! Vous restez là ... sans rien faire ? Venez donc m'aider !
Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine. Le contact avec sa peau m’électrise. Elle se tourne et plaque mes deux mains sur ses fortes poitrines.
- ils ne sont plus aussi ronds que ceux de ma fille, mais ils restent bien souples ! vous ne trouvez pas ?
Je continue à caresser les seins, les soupeser, ce qui commence à m'exciter terriblement. Elle gémit, s'arqueboute et m'attire vers elle, puis elle se serre contre moi et m'enlace étroitement. Je tente de m'échapper, mais elle se frotte violemment à moi. Une de ses mains apprécie mes reliefs plus bas. Elle rapproche son visage du mien, avec toujours ce sourire gourmand, puis soudain, elle passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un baiser ardent, profond. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, se detache de mes levres avec un regard interrogateur:
- Vous etes inquiet, il me semble ?
Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si rapide.
- J’ai des seins qui vous plaisent, j’aime plaire, j’ai envie de vous plaire..
Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Puis elle me déshabille, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir.
- Vais-je plus loin ?
J’affirme de la tête. Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Sa bouche cherche ma bouche, elle cherche mon corps, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement, Je suis surpris, un moment tétanisé. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement
- deshabillez-moi !
Je pose mes mains sur ses épaules et écarte ses bretelles. Sa combinaison tombe en corolle sur le sol.
- J'ai envie de faire l'amour ! .... J'ai envie que vous me fassiez l'amour ! Vous voulez bien ?
Elle m'entraine alors dans sa chambre et maintenant vers le lit, se couche sur le dos, m'attire vers elle
Allongée sur le lit, elle semble attendre une initiative de ma part. Mes yeux boient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. Ma main droite glisse dans l’ouverture de son corsage. elle se dégage et ôte avec désinvolture son chemisier. Le soutien-gorge suit et ses seins volumineux jaillissent, libérés de leur enveloppe de dentelle. Elle s'abandonne sur les draps et me fixe d'un regard intense..
- Venez ! ... vite !
Je me couche sur elle. Elle prend sans attendre mon sexe et le guide vers le sien, je l'introduis entre les plis mous et humides de sa vulve. Je la pénètre lentement. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Sa vulve masse ma verge avec un léger mouvement de succion. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. A ses contractions spasmodiques, correspondent mes fermes penetrations, je glisse mes mains sous ses fesses. une frénésie s’empare de tout son corps, Le climat monte et je sens vibrer en moi ma semence, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Ses lèvres ont quitté les miennes, balbutient des mots sans suite. Mon excitation atteind un paroxysme qui se termine en une tétanisation totale Je reste collé à elle loin, fort, profondemment, elle me supplie de conclure !
- Maintenant ! Vite !
Et c'est l'explosion. Le plaisir nous surprend tous les deux simultanément et j’éjacule, par jets successifs, abondamment dans son ventre, je decharge ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle est secouée de gémissements et de spasmes de plaisir. Ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence.
- Ma fille avait raison ! Vous êtes à la hauteur !
Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives Puis je quitte sa cabine doucement. Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi.