Allongés sur le tapis de la salle de bain, nos corps sont mêlés, emmêlés, épanouis, tels deux amants. Elle est belle, elle me plait. Ses seins lourds sont une gourmandise. Affaissée sur moi, elle se meut sur mon corps, langoureusement, se penche un peu, je saisis les deux seins convoités. ils sont beaux et lourds, ils me plaisent. Je n’y tiens plus, J'ai envie de baise. Ma main se glisse entre ses cuisses, douce et agile, elle s'immisce, caresse doucement son clitoris, s’emballe, je rêve de l’embrocher avec mon pale, de caresser et baiser ces seins et pouvoir librement enlacer ses reins. Collés l'un contre l'autre, je sens mon sexe aspiré dans le sien. c'est une pénétration douce. un rythme lent au début Je m'enfonce un peu plus. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées. Je commence à bouger en elle, lentement, Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve, puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon sexe bandé. Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux, elle soupire. La tête en arrière, la bouche légèrement ouverte, Je ne peux plus arrêter, c’est divin Je la sens, elle va jouir et moi aussi. Elle est excitée, je l’entends crier, elle halète, elle me fait perdre la tête, Je prends mon plaisir avec elle, dans un soupir de plus en plus intense. Ses jambes sont écartées et tremblantes. Rendu au point extrême où tous les sens explosent Je lui manifeste mon envie pressante d'enfin la satisfaire et en son trou offert mon sexe s'enfonce à fond, et je me répands en elle en une joyeuse apothéose.
Je vois ces corps mêlés, emmêlés, épanouis, de deux amants. Elle est belle, il me plait. Ses seins lourds sont une gourmandise. Affaissée sur lui, elle se meut, langoureusement, se penche un peu, il saisit des mains les seins convoités. Je n’y tiens plus, ils sont beaux et me plaisent. Je souhaiterais faire partie de leur baise.
Ma main se glisse entre mes cuisses, douce et agile, elle s'immisce, caresse doucement mon clitoris, cependant qu’il la retourne et l’empale, tête en avant, avec un râle, la tenant fermement par le haut des cuisses. Sur mon con inondé, ma main s’emballe, rêvant qu’il m’embroche de son pale, De caresser du bout des lèvres ces seins Et pouvoir librement enlacer leurs reins. J’entends quelques rires au loin; mais je ne peux plus arrêter, c’est divin Je la vois, elle va jouir et moi aussi Excitée par ce que lui fait son mari Ca y est je l’entends crier, elle halète la bête Adossée au mur, ils me font perdre la tête, Je prends mon plaisir de les voir, dans un soupir Jambes écartées et tremblantes de jouirUne pluie fine commence à tomber Me ramène à la réalité Le rideau est à présent tiré Et le spectacle terminé…