cheveux blonds, des beaux seins, ronds et fermes,
Elle doit avoir 18 ans, une peau lisse et un charmant bikini,
elle est délicatement bronzée.
Vanessa est dans la piscine, elle me voit, s'arrête, et me nargue,
- Tu m'aides à remonter sur le bord ?
Je lui tend la main. Elle s'accroche et se serre dans mes bras.
Elle me pousse contre le mur de la piscine
Son visage ruisselant est à dix centimètres du mien.
Nous restons immobiles une seconde.
je sens sa main frôler mon maillot de bain. Elle sourit
- Je m'appelle Vanessa
Puis elle pose ses lèvres sur les miennes.
Elle se colle à moi, enfonce sa langue dans ma bouche. Je bande.
Elle s'en rend compte et serre son ventre contre le mien. Elle me provoque
Elle est chaude, Je bande comme un cheval.
Elle repousse ses bretelles, se déhanche un peu et laisse tout glisser à terre.
Elle est nue. Elle me provoque. mon érection démarre. Je n'en peux plus
Elle se coule contre mon torse. Ses seins me caressent et s'écrasent sur moi.
Je bande, elle le voit, elle le sent, elle me jauge
- Tu es mur !
Elle me pousse derrière le bosquet, à l'abri des regards
Elle m’entoure le cou de ses bras et me "roule une pelle magistrale".
Elle se tortille, son corps est léger et souple, elle sent bon, Je la prend par la taille,
Elle s’attaque à mon short qu’elle descend sur mes chevilles.
Mon sexe se déploie d'un coup, droit, horizontal, dur, gonflé et brûlant.
Elle le saisit, et, avec dextérité, se l'enfile sans attendre,
il glisse tout seul dans son ventre chaud, c'est sublime
Nous sommes faits l'un pour l'autre semble-t-il … Elle me va comme un gant…
Ses cuisses ruissellent, mon sexe coulisse avec de delicieux bruits de succion.
Elle engloutit ma verge, sauvagement, je lui baise la bouche.
Elle me pompe, me malaxe les couilles, bref, elle me pousse à bout
Nous accélérons la cadence, Elle grogne, elle va venir…
des spasmes secouent son corps, elle serre les cuisses, elle m'excite,
je perds le contrôle, elle le sent, elle me pompe, le rythme s'accelere,
je m'enfonce ... et me bloque, bien au fond. Explosion
Le trait part ! ... je me libère en elle, sans retenue,
Je gicle par spasmes riches et généreux.
Elle suce et aspire ma queue qui se vide, suce tout, ne gâche rien.
Elle enfile sa robe, se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres,
caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre… lui donne une tape amicale.
- Tu t'appelle comment ?
Nous nous quittons, repus.