Je retourne à ma cabine, petite douche, et je me dirige vers la cabine 33. Je frappe.
- C’est ouvert ! Entre !
J'entre et referme la porte. Elle est allongée sur son lit, complètement nue.
Elle me provoque et elle réussit. La bandaison est repartie !
- Deshabille-toi ! Viens vite !
Je m'exécute et me glisse sur elle Elle se coule contre moi.
Ses seins me caressent et s'etalent sur mon poitrail.
Elle m’entoure le cou de ses bras et m’embrasse avec force.
Ses jambes sont écartées, Elle se tortille sensuellement,
son corps est léger et souple, elle sent bon, elle malaxe avec doigté mes bourses,
Je la prend par la taille, les mains dans ses reins et l’étreint.
Elle se cambre et me repousse un moment pour vérifier l'état de mon désir,
Mon sexe se dresse droit, horizontal, dur, gonflé et brûlant.
Elle le saisit, se l'enfile sans attendre. je sens monter en moi une perte de contrôle…
elle serre les cuisses, je la sens venir, elle m'excite,
je sens des frémissements parcourir mes bourses, qu'elle masse avec une douceur infinie.
Je vais venir, elle le sent, elle me pompe furieusement, coulissant sur mon pieu,
le rythme s'accelere, je m'enfonce au fond d'elle ... et m'arrete et me bloque,
je jaillis d'un coup par saccades riches et amples.
La grande explosion nous laisse complètement épuisés.
Je retombe, tout le poids de mon corps la recouvre.
Elle se penche sur moi, depose un baiser sur mes levres,
caresse mon sexe ramolli qui repose sur mon ventre… lui donne une tape amicale.
- Il est doué celui-là !
- Viens tout à l'heure à la cabine 34 ! Je vais te présenter ma mère !
Le temps de me rhabiller, un peu plus tard, je frappe à la cabine voisine.
Je fais la connaissance de la mère de Vanessa.
- Je vous laisse ! J'ai une course à faire.
Et Je me retrouve seul, face à cette belle femme,