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lundi 15 décembre 2025 - 15h34rech / rep
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(taille reelle)
au bord de la piscine ()
Sa chemise trempée baillait sur ses poitrines, les bouts des seins dressés. J'étais allongé, à demi nu et fort excité. Elle me regarda alors en souriant, les yeux brillants avec un sourire étrange et je sentis que son attitude changeait. Elle s'approcha près de moi et ses seins volumineux tremblaient doucement à quelques centimètres de mes lèvres, je sentais son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, je tendis mes lèvres en la fixant, elle les regarda, s'en approcha et y posa delicatement les siennes, d'abord legerement puis de maniere plus appuyée. Je me mis à caresser doucement son sein, elle posa sa main sur la mienne comme pour m'inciter à augmenter la caresse, tout en continuant à m'embrasser. Elle se pencha et ses seins gonflés vinrent s'appuyer sur mon torse, puis elle se serra sur moi et m'enlaça étroitement en m'embrassant goulûment sur la bouche, mon sexe frottait contre son ventre, et se durcissait encore à ce contact volupteux ! Au bout d'un moment elle se releva et me dit
- tu m'excites ! je n'en peux plus !
Elle pris mon sexe, le caressa de sa main ma verge était étonnamment douce, je me détendis, Je caressais ses cheveux à présent défaits, de temps à autre elle se détachait de moi pour me sourire Puis elle me souffla dans les oreilles:
- Je veux te sentir en moi !
Sa caresse était divine, elle se mis à califourchon sur moi et de sa main elle guida mon penis vers ses grandes lèvres distendues, et l'appliqua sur ses lèvres intimes en le faisant tourner sur sa vulve, elle était parfumée et c'était tellement doux. Elle gémissait au-dessus de moi et ondulait de la croupe, le jeu dura plusieurs minutes, je sentis alors mon membre dur comme du bois aspiré, suçé dans l'étui tiède, coulisser dans son puit. elle se pencha en avant et frotta ses seins sur mon visage, je lui lèchai les bouts au passage,
elle montait et descendait sur ma queue, rythmant les mouvements au gré de son plaisir, c'était suave, j'étais au paradis, Je découvrais cette sensation délicieuse de sentir coulisser mon membre dans son ventre doux comme du beurre. J'avais envie que le jeu n'ait pas de fin, j'étais bien, elle me souriait. Je voulus me retenir mais malgré moi je sentis ma verge se contracter, ma jouissance monta brutalement, je poussai mon bassin en avant. J'expulsais mon sperme bien au fond dans son ventre, je jouissais à n'en plus finir, elle le ressentit et sourit,
- Oui ! ... vas y ! remplis moi ! je te sens bien, tu me fais du bien
Ma queue restait bien enfouie dans son sexe, elle diminua un peu de volume mais resta quand même bien dressée. Elle en profitait pour se coulisser elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant au-dessus de moi ne tarda pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bandais de nouveau au fond de son ventre,
- mets la moi bien profond, enfonce moi, là je vais jouir, viens !
Je la tenais par les hanches et elle soulevait son bassin puis se laissait retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je voyais ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchant. Empalée à fond elle remuait pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourageait à lui en donner encore plus !
- regarde bien mes seins, c'est bon ! tu es bien profond en moi, vas-y, coulisses fort !
Elle se déchaîna, ses seins ballottaient de droite à gauche elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je jouis une deuxième fois, je sentis un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! J'étais comblé et cela me donna une folle envie de recommencer ! Elle se coucha sur moi, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous étions haletants, apaisés, heureux. Elle déménagea dans une autre ville, je ne l'ai plus jamais revue.