[Lui]
je la pénétre ... doucement, glissant avec facilité entre ses chairs humides. Nos deux soupirs se mêlent, ses parois intimes s'écartent progressivement, Nos deux corps commencent alors à onduler, ne faisant plus qu'un, nos mains serrées l'une dans l'autre, Je glisse en elle. Son ventre me parait immense et insondable, nous retenons notre respirationElle est comme extasiée, les jambes écartelées. Elle frissonne doucement. Ivres de plaisir nous sommes immobiles, respirant doucement notre plaisir et celui de l'autre ses yeux sont à peine entrouverts, son regard est perdu on ne sait où,
Sa respiration est rapide et profonde. Ses seins sont tendus tels des obus. Son ventre se soulève vers moi. Nos deux corps nus sont imbriqués l'un vers l'autre, chacun à l'affût de son propre plaisir et de celui de l'autre. Tout doucement, je tente de me retirer d'elle. Elle me rattrape pour me retenir. Je m'enfonce à nouveau en elle, un peu plus profond encore, elle se cambre. Une ou deux fois encore, je sors un peu ... et je rentre, la jouissance s'épanouit sur sa figure.
Je la pénètre doucement, lentement, ses chairs se distendent. Je la tiens par les hanches. Elle m'accueille en elle. Elle remue, m'aspire. Elle me sent, m'accompagne. Je la fouille, la remplis. Elle découvre de nouvelles sensations, les contractions involontaires, les mouvements convulsifs de ses reins. La sensation est diffuse, elle se propage, s’éteint, renaît. Je la sens comblée, remplie de moi. Je colle mon ventre contre le sien, nous sommes completement emboités l'un dans l'autre. je reprends mes mouvements ... Je glisse doucement en elle, ses seins ballottent . Elle mordille l'oreiller... Je vais et je viens, entrant et sortant de toute la longueur de mon membre. la caresse est douce et sensuelle. Chaque plongée lui arrache quelques larmes. La tension va s’amplifiant. elle me sent gonfler et grandir en elle. Elle frissonne, tremble.... Tout son corps se met à vibrer à chaque penetration. Elle gemit ... de plus en plus fort ...
Je la pénètre ou elle me prend. Elle est suave, onctueuse, moelleuse. Un paradis de douceur me cerne, ferme, élastique, étroit. Elle s’ouvre et me dévore. La sensation est délicieuse. Je suis en elle, au plus profond d’elle. Je sens la chaleur de son ventre tout autour de moi, j’appartiens à ses entrailles, je fais partie d’elle, je l’habite. Tout disparaît, je suis dans un autre univers, plus rien ne compte que cette douce sensation à l’extrémité de mon être, Elle bouge lentement, d’avant en arrière, d’arrière en avant, se frotte, masse ses parois intimes contre mon gland. Tête rejetée en arrière, elle se mord la lèvre sous l’effet des sensations qu’elle fait naître. elle se soulève, cambre les reins, me suce, me roule et me déroule, se laisse retomber. Elle bouge, portée par une houle invisible, de plus en plus creuse, de plus en plus profonde. Au sommet de la vague, elle plonge avec avidité pour à nouveau s’emplir. L’ascension est plus lente, elle reflue à regret pour mieux me sentir revenir. Elle module le rythme, s’arrête, repart, me quitte presque pour se combler à nouveau. Elle glisse sur mon mat, légère, agile, elle ondule fluide, féline comme une panthère. Elle jouit de mon corps... Elle va jouir de moi. Elle remue, imperceptiblement, ouvre les yeux, cherche les miens. Un sourire de bonheur éclaire son visage. Elle me serre de sa bouche amoureuse, juteuse comme une mangue. Elle est à moi, je la garde...
Je m'enfonce ... doucement. Je l'entends soupirer. Lente pénetration. Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. Une sensation puissante. ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Un va et vient s'amorçe comme un doigt dans le beurre, Je glisse en elle avec volupté. Je sens un corps onctueux. Une vague nous inonde. J'explore un univers intime, chaud, humide. Je sens ses transformations internes. Son corps est parcouru de frissons. Elle cambre délicieusement ses reins, son corps se détend, s'ouvre. Elle s'abandonne. Elle se livre totalement au plaisir qui, au fur et à mesure, la gagne toute entière. Je remue et glisse dans ses chairs. Sa respiration se fait plus bruyante, elle gémit doucement. Je m'enfonce en elle encore et encore, je glisse avec délice. Elle gémit de plus en plus fort. Je donne et je donne. Puis je me retire, doucement, Elle semble reprendre sa respiration, inspire un grand coup. Elle me regarde, les yeux brillants, se mordille la lèvre inférieure, me supplie de revenir Je m'etend sur le dos, elle vient sur moi et s'empale. Je m'enfonce en elle, une vague de chaleur m'envahit. Ses yeux ne quittent pas les miens. Je la vois monter et descendre très lentement. Elle prend son plaisir, se fait coulisser doucement, Elle ferme ses yeux, se mord la lèvre, remue ses hanches, plus vite, Je m'enfonce maintenant au plus profond d'elle. Je sens ses cuisses trembler, se contracter. Elle vient de jouir. Ses mains caressent ma poitrine. Les miennes malaxent ses seins, tendrement. Elle est nue, belle et splendide Elle s'allonge sur le lit, sur le ventre, et ecarte les jambes. Elle s'offre à moi. Je m'approche de nouveau, et je m'enfonce en elle. Elle referme ses jambes une fois que je suis en elle. Je me sens bien, confiné dans cet endroit intime. Je vais lentement. Je m'enfonce plus profondemment et j'accélère le rythme petit à petit. Elle attrape l'oreiller et le serre très fort, je la sens venir. Je me sens venir aussi. Ma respiration s'accélère, mon rythme aussi, je me défonce. Je sors et rentre ... tout au fond... Je donne... J'accelère, l'orgasme est bientot là, je ralentis et donne de l'ampleur à mes coups de reins. Je vais plus au fond, encore, encore, encore... Et je lâche.
son ventre etait doux, chaud et etroit, je continuais ma lente penetration, et c'est son corps qui peu à peu s'est offert, telle une fleur au printemps. j'etais bien. Cela m'a semblé une eternité de douceur et de plaisir controlé. son souffle etait lent , plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. j'atteignis bientot le fond, je restais un moment en elle sans bouger elle avait les yeux fermés, Elle etait offerte, la bouche ouverte, tout son corps semblant jouir de ma douce penetration. Je passais ma main dans ses cheveux, carressais son visage, elle se mordillait les levres, doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais pas son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas, pas maintenant, pas encore,
je glisse entre ses cuisses, à l’intérieur de son corps de femme. Elle me guide et m'adresse un sourire rempli de gratitude Nous nous embrassons amoureusement, tendrement. J'harmonise mon mouvement au rythme ondulatoire de son bassin. Le mouvement est lent, puissant, profond, son bassin glisse de quelques centimètres ses muscles intimes m'emprisonnent encore plus étroitement. Elle me caresse les cheveux et le visage et me murmure à l’oreille
- Oh oui … c’est bon ! .. Vas-y doucement ... c’est bon de te sentir en moi, continue …
elle me tranquillise par des gestes et paroles. je la pénétre avec douceur, savourant la progression de mon membre dans l'étui tendre et chaud, un sentiment de plénitude et de satisfaction m'envahit, Elle remue pour bien me sentir contre ses parois intimes. C'est chaud, c'est doux, c'est mouillé et terriblement agréable. Je sens les contractions de son vagin sur mon muscle bandé. Elle remue légèrement son bassin. Elle se releve, fait legerement bouger son bassin, d'un coté et de l'autre. Le contact n’est plus le même. Il est plus étroit, plus intime, plus englobant. je me mets à la caresser, massant ses seins et les malaxant à deux mains tout en continuant d'amples allées et venues de mon sexe en elle, elle se met à émettre de petits cris et halètements qui soulignent son plaisir, son corps se tend sous mes caresses, je sens mon sexe s'allonger en elle et gonfler de desir. sa poitrine se souleve au rythme de sa respiration. elle ouvre encore plus ses cuisses, je fais aller et venir mon membre profondemment en elle, puissemment dans son intimité mouillée,
Je sens mon sexe aspiré par une chair brûlante et innondée. c'est une pénétration ample et suave.
un rythme lent au début pour nous permettre de savourer notre plaisir.
Je m'enfonce plus profondemment. Elle s'offre alors totalement, les jambes bien écartées.
Je me sens bien, confiné dans cet endroit intime. savourant cet instant où nous ne faisons plus qu'un.
Je commence à bouger en elle, lentement, et, au meme moment, je lui prodigue de mes levres un profond baiser,
Je capture sa langue, la maîtrise, elle roule la sienne autour. Puis je la laisse respirer.
C'est elle maintenant qui ouvre une bouche gourmande en signe d'appel.
Les langues se rejoignent, se renouent, les sexes se pénètrent de nouveau.
Je me retire, legerement, mon gland caresse le pourtour de sa vulve,
puis je la pénétre à nouveau, profondément, de toute la longueur de mon muscle,
Le va-et-viens s'amorçe, lent et langoureux, elle soupire.
La tête en arrière, la bouche légèrement ouverte,
La pénétration ample de mon membre la comblait, c'était un véritable envahissement. inondée de ses propres sécrétions, la penetration se fit facilement. Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule. Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux, Je me mis à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Ses râles augmentaient en intensité. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux, coulissait profondément dans le vagin, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Mon penis était complètement enserré dans son ventre chaud. Je continuais mes va et vients réguliers, méthodiques. Elle était en extase. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice.
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[andr]
je sens mon sexe aspiré, entrer dans le sien, glisser dans sa douce moiteur. Tout doucement, ses chairs les plus tendres s'ouvrent et m'accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée. Elle pousse un grand soupir, me regarde avec des yeux troubles Je m'enfonce, je glisse lentement dans son ventre chaud. Je me sens aspiré. Je la penetre profondemment, en de lents mouvements. Elle se mord les lèvres. Elle ondule de tout son corps. Je coulisse en elle Elle sent les reliefs noueux qui glissent dans son ventre. Elle se fait enveloppante, ses lèvres pulpeuses massent delicieusement mon sexe bandé. Elle me suçe, se remplit de moi. Elle m’aspire, m’absorbe, me relâche.
un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat irisé de plaisir Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle se donne du plaisir, je gémis de bonheur. Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Elle sourit. Elle s'empale doucement, interminablement, en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle ralentit sa descente, me regarde jouir, la reprend. Ces lentes pénétrations affolent nos sens. Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Petit à petit, elle absorbe toute la longueur de mon membre, le voilà maintenant enveloppé d'un fourreau chaud, doux, vivant. Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est délicieuse, affolante. Claire savoure ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se penche vers mes lèvres pour les embrasser sans lacher mon pieu qui la pénètre profondément. Ses mouvements déplacent mon sexe dans son ventre. Elle se redresse, nouvelle sensation. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, je sens ma verge coulisser en elle et fremir dans son ventre. Elle recommence ses mouvements verticaux, tour à tour se dégageant et s'empalant sur mon sexe, haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. Elle s'abaisse rapidement, engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupe le souffle, elle pousse un cri, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant.
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[Elle]
j’ai senti son gland s'enfoncer entre mes levres trempées, Il est entré doucement en moi. Il est resté un moment sans bouger avant d’entamer un lent va et vient à coup de reins puissants. je sentais son sexe glisser a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. J’aime ces pénétrations lentes ou je sens le frottement du sexe masculin sur mes muqueuses. Il faisait de petits mouvements de coté, avec toujours cette pénétration lente, et toujours ces mouvements de rotation. Il s’est collé à mon dos a repris mes seins dans ses mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi. Il a alors commencé à aller et venir, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes. lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient je répondais a chaque penetration en creusant les reins pour qu’il puisse aller le plus loin possible. j’étais au bord de l’explosion lorsqu'il a encore ralenti le rytme de ses intrusions allant de plus en plus loin en moi et ressortant presque complètement avant de revenir encore plus loin. J’ai senti son sexe gonfler encore et puis ... Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ...
Lentement le gland se lubrifie à mon humidité a chaque penetration, il s'enfonce dans mes entrailles. Sensation d'une douceur infinie. Nous restons immobiles de longues minutes. Sa verge palpite dans mon ventre, je suis secouée d'un spasme. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient. Je ferme les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion. sa verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffle-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde. Nos regards se soudent l'un à l'autre, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui me fouille et que j'aime. La transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fait perdre toute retenue. Julien saisit mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre,
Je sens cette queue douce, raide et bienfaisante glisser tout doucement dans mon ventre. je ressens une sensation de bien-être, de douceur et de chaleur intime, Il s'enfonce à nouveau, jusqu'au fond. délicieux envahissement et détente libératrice. Un sexe mâle est enfoncé en moi, je le sens vivre dans mon ventre, c’est merveilleux. Ce sexe est délicieusement chaud et doux, il est planté en moi, immobile. J'ai l’impression d'être remplie. Après un long moment je recommence à bouger timidement mon bassin et je sens cette queue douce et raide coulisser dans mon ventre. je savoure les mouvements de cette délicieuse colonne de chair au plus profond de mes entrailles, j'en gemis de plaisir. Je suis bien, merveilleusement bien ! La pénétration ample de son membre me comble, m'envahit. Je suis inondée de mes propres sécrétions. J'enfonce mon visage dans le creux de son épaule. Il reçoit mon souffle chaud dans son cou, mes baisers mouillés sur sa peau, mes tendres caresses dans ses cheveux, Je suis une femme comblée et je suis bien, merveilleusement bien ! Il se met à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Ses mouvements se font plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçe dans mon fourreau, souple, moelleux, soyeux, coulisse profondément dans mon vagin, en épouse parfaitement la forme, caresse amoureusement la fragile muqueuse. Son penis est complètement enserré dans mon ventre chaud. Il continue ses va et vients réguliers, méthodiques. Je suis en extase. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue sont un véritable délice. Je râle de plaisir sous ses caresses intimes. D’instinct, je passe mes jambes autour de ses reins, mes bras autour de son corps et le serre en plaquant mon ventre contre le sien,
Elle sent l'enorme sexe de Louis coulissser en elle longuement, la remplir progressivement. Elle se sent fouillée au fin fond de son être. l'enorme chose palpite, frémit. Le sang bat dans les veines qu’elle enserre. Il bouge très lentement, se retire à peine et replonge, au fond. Ses chairs s'ouvrent, massent le sexe bandé avec délicatesse, le sucent, le retroussent, le déroulent. Sa vulve glisse, poussée en dedans, tirée en dehors. Cette lente caresse au fond de son ventre est d’une tendresse infinie qui la touche dans son intimité la plus profonde. Louis rend son mouvement plus ample. Il varie l’angle de sa pénétration, faisant naître d’autres tensions, allumant d’autres foyers. Il explore tous les replis secrets, fait varier la pression, amollissant les chairs, les distendant.
ses reins se remettent à bouger, allant à la rencontre de l’objet qui la torture si tendrement. Elle cherche à happer le membre en elle, essayant de l’enfoncer plus profondément. Louis se retire presque entièrement. Elle s’accroche à lui pour le retenir en elle. Il la penetre de nouveau avec deux ou trois mouvements amples et puissants qui la remplissent profondément. Aline crie sa jouissance. Son corps entier est secoué.