Elle s'empale sur moi, absorbe mon gland, doucement, lentement. Ses chairs sont glissantes et chaudes, le glissement onctueux. Elle suçe ma verge comme une sucrerie. un frottement délicat irisé de plaisir, ma verge bandée se dresse, grossit et s'allonge dans son ventre gourmand comme un poulpe. Je m’empale tout au fond. Elle me dévore, littéralement
- Sens comme je suis ouverte ! Mets le moi bien profond ! Enfonce le bien dans ma chair
- Vas et Viens ... Plus vite ! Nos deux corps soudés, ne forment plus qu'un
- Et maintenant ... Ne te retiens plus ! Au creux de mon vagin, fais jaillir ta sève,
- Donne moi ton miel d'homme ! Inonde moi de toi !
Elle se frotte, ondule et fait tournoyer mon sexe qui se tend dans ses chairs. Elle m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur.
Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Elle me sourit. Nous nous balançons l’un dans l’autre, nous savourons chaque instant. Elle se soulève, redescend, avale mon sexe. Ses seins lourds ballottent au dessus de mes yeux. Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Elle lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sents. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Et caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, assouvis et heureux,