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samedi 13 décembre 2025 - 07h42rech / rep
adlt-16-misshjdfgopi

adlt-16-misshjdfgopi
(taille reelle)
dernière offrande ()
J'étais chaude et mouillée. Je l'ai senti alors s'enfoncer en moi. Lentement, il glissa dans mon ventre. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir.
Je l'ai senti glisser hors de moi et n'ai rien fait rien pour le retenir. Je restais là, béante, ouverte comme je ne l'avais jamais été, obscène presque, mais apparement, oh combien desirable. J'ai relevé la tête, je l'ai regardé dans les yeux. Il me fixait d'un regard vitreux, lubrique presque. Il s'est de nouveau rapproché de moi, Il a posé son sexe sur le mien, l'a poussé ... un peu, puis ... un peu plus ... et ce fut de nouveau le paradis,
Je l'ai laissé doucement glisser en moi, il écarta mes chairs rosées avec son sexe qui avait repris toute sa vigueur, Il poussa un soupir quand il arriva au fond, je faisais durer le plaisir, et je savourais ses lentes pénétrations. Puis il accélèra, une fois, deux fois, je n'en pouvais plus ! Je jouissais. Il se lacha sans se retenir ! il se vidait dans mon ventre, n'en finissait plus !
Puis la tension s'est relâchée. Une fois les spasmes apaisés, une lourdeur pesante envahit mes membres, une chaleur humide s’épanchait de mon corps. Ma respiration se fit plus profonde, le calme revenait, progressivement. Il est resté planté en moi un instant, immobile puis, je l'ai laissé glisser hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa, épuisé à mes cotés. J’étais aussi épuisée que lui. ... Je rouvris les yeux pour apprécier tout ce que j'avais reçu de lui, La tourmente fit place à un calme absolu, à une détente totale. Je me sentais sans force, je pleurais doucement. Je restais là, les cuisses ouvertes, béante. L’air sur ma toison humide me donnait le frisson. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... Nos corps étaient repus...

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