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samedi 13 décembre 2025 - 06h03rech / rep
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(taille reelle)
Devais-je si vite lui succomber ()
il s’est approché de moi, a écarté mon corsage pour m'embrasser dans le cou. Je me laissais faire. Il a commencé à me caresser les hanches. Puis je l'ai senti passer sa main plus bas, entre mes jambes. Je tentais de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées. Je n'étais pas encore décidée. Devais-je si vite lui succomber ?
Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, mais je n'avais pas prévu de succomber si vite.Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Je cherchais à retirer ses mains qui se faisaient de plus en plus pressantes sur mon intimité. Mais il m'attrapa les mains et s’imposa, fort, viril, dominant. Je continuais de résister, mais sa manière à lui de me contrôler, de me soumettre à lui, m’excitait bien plus que je ne le pensais, et je finis par me laisser aller.
A présent je le désirais. Je le désirais de plus en plus fort. Je sentais ses mains, il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais à lui. Je le voulais. Je le voulais en moi. Je voulais que ses mains me dominent, me caressent, me fasse crier … Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus. J'avais abdiqué. Je me laissais aller, J'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Mon coeur lâchait Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais encore.
Bestial, animal, il m'a pris. A bout de force, je l'ai laissé présenter son sexe dur contre ma vulve ouverte. je l'ai senti venir, entrer en moi, profondément, puis ressortir et rentrer de nouveau, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je criais de plaisir, de douleur, de désir. J'avais de plus en plus chaud, j'étais bouillante. J'agrippai alors les coussins du canapé comme je pouvais et en mis un dans ma bouche pour ne pas hurler … Nos ébats durèrent un long moment. Un long moment ou il m’a soumise, désirée. Après m’avoir prise comme ça pendant un long moment, il finit par se laisser aller lui aussi et il jouit en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats.
Ce soir la, je me suis sentie dominée, femme, j'ai aimé me laisser aller, J'ai adoré sa virilité, son coté bestial, animal.