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samedi 13 décembre 2025 - 07h46rech / rep
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(taille reelle)
Contre-jour ()
Contre-jour de lumière. Le coucher du soleil. une jupe fluide. Un double tour de clef. Tu me tournes le dos. Je te prends, je t'enlace. Tu bouges, vaguement. Je te serre plus fort. Tu t'étires, tu murmures. ta tête sur mon épaule. Abandon.
Et cette lumière chaude, dans cette chambre sombre. nos ombres mouvantes sur le mur blanc. Mes lèvres sur tes joues, effluves de ton parfum. Mes mains entre tes seins qui les massent et les serrent. Mes mains qui descendent, remontent sous le corsage. Frissons. Mes mains entre tes jambes et tes jambes qui me serrent, et toi qui ondules lentement, doucement.
Ta jupe qui se tend, mon pantalon aussi. frottement de nos vêtements. Ta jupe glisse a tes pieds. L'humidité qui perle entre tes jambes m'aimante. Un murmure qui se prolonge, une invitation. Et d'un coup tu te tournes, m'embrasses, longuement. Ton ventre effleure le mien, descend, remonte, se frotte. Tu ondoies, tu m'excite, tu me pince, tu m'incite. Tu m'enlaces, tu agrippes mes chairs. Nos corps qui se frottent, s'excitent, lascivement. Tu t'accroches à mon cou, m'enveloppes de tes jambes, colles ton sexe au mien.
Nous glissons dans le lit. En silence. Contact moelleux quand je t'y allonge. ma chemise qui vole, tes dessous qui s'esquivent. Tes seins dans mes mains, qui s'affermissement. Ta peau chaude, ton odeur, ton doux râle me grisent. Tu t'allonges, te déploies, te détends sur le lit. Ton corps abandonné, tes jambes ecartées, tu m'attends, je me tend. Ma main s'attarde entre tes jambes, explore les contours de tes lèvres mouillées, s'introduit dans le puit. Tu gémis, tu te cambres, tu râle et tu implore. La sueur se mêle au goût de ton intimité. Je m'attarde, je t'excite. Tu ondules de plus en plus vite, rale de plus en plus fort. Et tu jouis, longuement, dans une plainte heureuse et apaisée.
Je me place sur toi, tu diriges mon sexe. Je pénètre ton corps ouvert humide et chaud. Je m'allonge sur toi. Tu m'enserre à nouveau. Je t'embrasse, tu m'embrasses. Et le rythme reprend possession de nos corps. Le va et vient de tes hanches s'accélère. Aller encore plus loin.
Je sens venir l'instant du plus profond de moi. Tu me regardes, tu serres tes lèvres. Tu vacilles. D'envie, de peine. Sous mon corps. Rentrant, butant dans le tien. Cherchant ton plaisir. Tu m'étreins, tu m'enfonces en toi. Jusqu'au bout. dernier coup de mon corps dans le tien, de nos corps l'un dans l'autre, je te pénètre loin et explose dans ton ventre. Cris étouffés, haletants, épuisés. Affamés l'un de l'autre. Tu m'embrasses, je t'embrasse. On s'enlace. Eternité ....




Soirée mondaine, musique douce. Elle est sur la terrasse, reveuse
appuyée sur la rambarde, elle contemple les astres dans la nuit.
Je viens derrière elle, je m'appuie contre elle, bassin contre bassin
- La lune est pleine ce soir, elle est magnifique, vous ne trouvez pas ?
Je glisse mes mains sur ses hanches et les agrippe doucement
Elle soupire :
- Oui ... mais elle semble bien seule, elle mériterait d'être visitée
J'accentue la pression sur son bassin, et caresse ses hanches
- En fait, elle a besoin d'etre explorée, me lance-t'elle
Je me serre un peu plus contre elle, mes mains remontent sur ses flancs,
elles atteignent ses seins que j'empoigne doucement.
- Oui ! Comme celà ! Vous avez deviné !
Elle ne porte pas de soutien gorge. Je caresse les pointes, lui mord doucement le cou.
Elle agite le bassin, glisse une main derrière elle et teste mes reliefs prometteurs.
Elle caresse l'objet et le masse doucement.
Elle tourne la tete, me fusille du regard.
- Viens, dépêche-toi, je suis prête
Je relève sa jupe, elle degage mon sexe, le place à l'entrée de sa vulve.
Elle s'empale sur moi. gemit doucement en se laissant penetrer.
Je reprend ses seins, les serre, lui mord le cou, lui donne d'amples coups de bassin.
Elle gémit. Je ne peux résister plus longtemps. La fusée part ! ...
et je gicle au fond de son ventre, abondemment par jets successifs. Elle s'immobilise.
Je ressors mon sexe dans un bruit de succion, elle s'essuie avec son mouchoir.
Elle se retourne et me sussurre:
- l'autre face de la lune se sent vacante !
Je me rapproche, lui prend le visage à deux mains et lui donne un baiser tendre.
Mon sexe se dresse à nouveau. Elle le sent
Elle se sent des faiblesses dans les jambes, s'accroche à mon cou et se colle contre moi.
Il la prend doucement. Avec délicatesse, il caresse les seins qui durcissent à nouveau.
Une main remonte le long des jambes, glisse entre les deux cuisses et atteint la fourche.
Il soulève la robe et sa main saisit la culotte qui commence à s'humecter. Doucement il tire le vêtement, le dégage par le bas.
Ses mains peuvent alors atteindre sa vulve. Ses doigts s'introduisent, glissant d'avant en arrière.
Ses jambes s'écartent, son corps se tend. Sa source coule à flot et soudain, c'est l'orgasme. Elle pousse un cri rauque.
Pendant quelques secondes, elle reste tendue, puis s'affaisse.
Il se serre sur elle, la prend dans ses bras et l'embrasse de ses lèvres humides.
L'echange redevient soutenu. L'excitation remonte. Et c'est une pénétration amoureuse ample et suave.
Il s'enfonce loin et provoque chez elle un râle de plaisir.
Elle ouvre ses jambes au maximum, puis l'enserre. Elle veut le garder sans bouger.
Le rythme est d'abord calme, lent. Ils se murmurent à l'oreille des mots sans suite,
ils accélèrent la cadence et bientôt, à grands coups puissants, il plonge et ressort de ce ventre acceuillant.
Le plaisir monte de plus en plus fort, ils se lancent dans un galop effréné
et c'est l'explosion simultanée des deux amants.
Le coup de tonnerre passé, ils restes unis, leurs bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment.