Seule dans sa chambre, Mme Granger attendait souvent un mari trop absent et semblait se morfondre ce jour là au premier étage. J'étais moi aussi seul au premier étage, elle me vit sortir de ma chambre, Elle ouvrit la porte en grand et m'appela. Je tournais doucement la tête, et vit cette belle femme à moitié dévétue qui se tenait appuyée contre le chambranle de la porte. Mme Granger était une belle femme, terriblement attirante et sensuelle. Hypnotisé, je commençais à m'avancer vers elle. Arrivé à sa hauteur, elle prit délicatement ma main qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue. Elle se rapprocha de moi pour me sussurer quelques mots à l'oreille :
- Julien, c'est mon anniversaire aujourd'hui, Tu es seul ... moi aussi
- tu vas me faire plaisir ... et je vais te faire plaisir, Viens !
Elle m'attira aussitôt dans sa chambre et referma la porte derrière nous. Elle se colla langoureusement à moi, caressant mon visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de ma peau pour s'imprégner de mon odeur, pour s'exciter encore davantage, elle me caressa le torse, le ventre.
Puis elle desserra ma ceinture. Elle glissa une main dans mon pantalon, prit mon sexe et commenca un lent et délicat massage. La douce caresse féminine m'excitait fortement. Je n'avais jamais songé pouvoir un jour toucher la peau de Mme Granger. Je remplissais mes poumons du parfum capiteux et envoûtant de cette femme, mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. Je posai mes mains sur les épaules dénudées et articulai un début de phrase :
- Madame Granger, je voudrais vous...
Bien que toute à son émoi, elle avait bien compris ce qui se passait dans ma tête. Elle posa un doigt sur ma bouche pour me faire taire. Puis elle se plaqua d'avantage contre moi et ce sont ses lèvres qui finirent d'ouvrir les miennes. Ce fut un baiser sauvage, profond. Nos lèvres s'écrasaient les unes contre les autres dans obcène bruit mouillé, nos langues se recherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. C'était un ballet violent, animal, sauvage et beau à la fois, mélangeant notre souffle, notre haleine, nos salives. La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. Elle se frottait en même temps contre mon relief indécent. Nous étions à bout de souffle, à la limite de l'asphyxie, Mme Granger dégagea ses lèvres de ma bouche, planta ses yeux dans les miens:
- Julien, J'ai envie de toi, j'ai envie de te sentir dans mon ventre ...
Elle disait tous ces mots pour s'exciter, pour m'exciter, mais aussi pour me rassurer et me mettre en confiance. Debout contre le mur de sa chambre, elle s'offrait à moi, totalement: un corps de déesse aux formes harmonieuses, sublimes, parfaites. Des seins que l'on a envie de caresser, d'effleurer tant la peau parait douce et délicate, une taille que l'on voudrait enserrer de ses mains juste au dessus de hanches. Elle se hissa sur la pointe des pieds. Ondulant de bassin, elle enduisit mon gland de ses sécrétions intimes pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. S'accrochant a mes épaules, elle me souffla à l'oreille :
- Viens, Mon amour, maintenant vas-y !
Elle s'aggripa plus étroitement à moi. Je m'affolai un peu :
- Vas-y, ne t'arrête pas !
Elle murmurait ses encouragements en me caressant amoureusement les cheveux. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que ma pénétration se fit facilement. Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux, je me mis à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Je voulais combler cette femme merveilleuse, lui donner tout le plaisir qu'elle m'avait procuré. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Pour moi, c'était de nouvelles sensations. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je continuais mes va et vients réguliers, méthodiques. Le goût de sa peau, derrière son oreille, le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice. Madame Granger n'était pas chaude, elle était brûlante. J'étais en nage et une chaleur torride irradiait du corps de ma maîtresse. Mes mains couraient frénétiquement sur le corps féminin pour le caresser, lui pétrir les seins. Sa tête roulait sur mes épaules, son souffle était court. Elle me mordit l'épaule pour ne pas hurler, je continuai mes mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier notre jouissance. Mme Granger devenait impatiente. Elle s'aggripa a mes épaules, et soulevant sa jambe gauche, elle la passa autour de ma hanche pour que je la pénètre encore plus loin, encore plus fort. Elle contracta ses muscles internes. Le contact du bas soyeux, la caresse de sa chair tendre m'électrisèrent comme un signal de l'assaut final. Je bandai alors mes muscles et de toute la puissance de mes reins, je me ruai dans le ventre brulant. Elle n'en pouvait plus. Elle passa ses deux jambes autour de ma taille, s'empalant davantage. Je lui empoignai les deux fesses pour mieux la pénétrer jusqu'à la garde. Elle était térassée par une série d'orgasmes en continu. Elle hurlait mon nom, me suppliait d'arréter, me priait d'aller plus fort. C'en était trop pour moi ! Sentant la pression de ma semence depuis mes bourses pleines, j'accélérai, déclenchant un véritable flot bouillonant de lave en fusion que je projetai au plus profond du ventre de Mme Granger. A bout de souffle, j'enfouis ma tête dans son cou, je continuais de limer doucement mon amante. Elle revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder mon dard planté en elle. Les dernières caresses de mon sexe ramolli la comblait de bonheur. Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, m'embrassant tendrement dans le cou. Je voulus exprimer mes sentiments mais elle me fit taire avec ses lèvres. Sa langue envahit délicatement ma bouche pour une dernière étreinte puis elle me repoussa doucement et me fixa dans les yeux.
- Julien, mon mari ne va pas tarder. Il va falloir partir !
Je voulus protester, mais elle me posa la main sur ma bouche puis me caressa la joue.
- Julien ce fut merveilleux, tu as été un amant formidable. Tu m'a faite jouir divinement !
Elle se caressa la vulve. Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent à l'intérieur de son vagin dans un océan de sperme et de cyprine. Les effluves de nos étreintes et de notre union enivrérent ses narines.
- Maintenant il faut vraiment que tu y ailles !
Et comme pour confirmer ses dires, mon sexe commença à glisser doucement de sa gaine soyeuse, nous faisant sursauter et nous laissant une impression de vide immense. Madame Granger réalisait ce qui venait de se passer. Comment, elle, bourgeoise mariée, avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements. Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre lui rappelèrent qu'elle venait de vivre un moment inoubliable.
- Pars, maintenant, souffla Mme Granger ...
Un peu déconfit, je remontai mon pantalon. j'y rangeai rapidement mon sexe flasque et poisseux et mes bourses trempées. Elle replaça la dentelle de sa culotte et, m'embrassant tendrement au coin des lèvres, me poussa vers la porte.
- Fais le pour moi, mon amour, va vite rejoindre les autres !
Je me retrouvai seul dans le couloir et la porte se referma doucement derrière moi. Le clac de la poignée me ramena définitivement à la réalité.