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samedi 13 décembre 2025 - 06h01rech / rep
-adlt-03-librairie

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(taille reelle)
Elle vend des livres le jour ()
Elle vend des livres le jour. Pour le reste je l’imagine. Elle ne peut qu’être belle. Elle ne peut qu’être sauvage et vivante. Elle ne peut que vouloir mon corps. J'entre dans son magasin, me dirige vers elle et m’approche pour lui demander si elle possède intitulé «Acme book shop». Elle me sourit et m’invite à la suivre dans l’arrière boutique. Elle avance devant moi. Elle me sourit au passage, s’arrête au fond, se retourne et m’attire à elle.

Je sens ses lèvres sur les miennes, sa langue percer mon étonnement, envahir ma bouche. Je sens ce goût fabuleux du baiser. Nos salives se mélangent. La langueur de ce contact chaud et vivant dans ma bouche me perd dans une béatitude mystique. Elle a les yeux fermés, est absente, ailleurs, je ne compte plus. Ses mains appuient mon corps, frottent mon dos. Elle m’embrasse toujours, toujours absente. Ses mains cherchent, Je sens comme un soupir dans son baiser, comme la reprise d’un souffle nouveau. Mon sexe est nerveux, perd ses premiers liquides d’un désir qui ne se cache plus. Elle me sourit et cherche maintenant en me regardant droit dans les yeux la force de mon désir en ouvrant mon pantalon. Elle extrait mon sexe. Ma verge est droite, battante, brillante devant ses yeux. Elle la prends d’un main ferme la dirige contre ses petites lèvres, la fait glisser lentement. Lentement je pénètre son ventre dans un mouvement infini. Elle m'avale, lentement, imperturbablement. Elle laisse revenir un peu de ma verge, joue avec le gland entre la volupté et la fermeté. Je sais qu’elle me regarde mais je ne la vois plus, je ne suis plus que sens. Elle amplifie les mouvements. Je ne respire plus. Elle sert mes couilles, griffe les arrières. Je ne peux plus rien pour la protéger. Je sens monter une flamme qui me brûle jusque dans mes cris. Une vague puissante, profonde. L’instant est insupportable. Rempli à raz bord d’un plaisir qui attends son sort. Elle me regarde, je la regarde nous nous égarons et d’un sourire, d’un serrement, d’un geste simple, elle obtient de moi une série d’assauts liquides sans pareil. Je sens les bouffées de plaisir épaisses se décharger en elle avec une violence que je ne me connaissais pas. Je sens mon sperme comme je ne l’avais jamais senti, je vois sa couleur perle déborder. Elle avale tout mon sexe, le mange, le noie dans mon propre sperme. Je la regarde. Elle est loin. Elle se repaît de moi.

Elle se lève me regarde droit dans les yeux. Je vois les siens remplis de gratitude. Elle me donne baiser. Nous sommes sublimes dans l’ivresse de cette joie. Elle se sépare de moi me regarde et rit de notre état. Elle me prend par la main, m’emmène vers une glace. Tous les deux debout, le sexe rouge et flacide et trempé. Nous regardons le désordre de nos visages. Elle essuie ma queue, me rhabille gentiment, m’essuie, me ramène au centre du magasin, Elle est heureuse. Je la regarde.