C'était une belle femme brune, chemisier blanc, poitrine bien galbée, à peine masquée par la dentelle noire de son soutien gorge. Elle quitta ses chaussures, sa jupe et son chemisier devoilant des fesses bien remontées, contenues dans un slip en dentelle noire. Elle s'installa à plat ventre, bras le long du corps; il dégrafa son soutien gorge, et commença à parcourir son corps de mille effleurements. Sa peau était douce et lisse, et réagissait par endroits en de léger frissons. Il se saisit alors de la fiole d'huile, et laissa couler un mince filet le long de son dos. Elle ne put réprimer un mouvement de cambré très suggestif avant de se ressaisir. Le massage se fit alors plus appuyé, les pressions glissées parcouraient dans le détail les mollets, les cuisses , les fesses, le dos, les épaules et le cou, en alternance. Barbara commençait à s'abandonner, laissant son corps onduler au rythme du massage. Il se proposa alors de lui retirer ses sous vêtements, qui constituaient un obstacle au passage de ses mains à certains endroits. Il se saisit du soutien gorge, puis fit glisser lentement le slip jusqu'à l'extrémité de ses jambes. Insidieusement, elle ouvrit légèrement les cuisses, laissant entrevoir sa fente rosée et humide. Tout en massant ses fesses d'une main, il insinuait maintenant un doigt à la périphérie de la vulve. Il la sentait brûlante et gonflée. Barbara ne pouvait se retenir de faire onduler son bassin à chacun de ses gestes, elle était dans un état semi-fébrile.
Il lui demanda alors de relver le torse, jambes à demi fléchies.
Il pouvait voir les pointes de ses seins qui paraissaient tendues à leur maximum. Il caressa la partie interne de ses cuisses et de son ventre, appliquant des mouvements circulaires. Elle écarta ses cuisses, toujours un peu plus, découvrant son intimité ruisselante. Il titilla encore les contours de sa vulve puis dirigea ses mains vers l'un de ses seins. Il se saisit de la partie charnue d'une main, tandis que l'autre pinçait précautionneusement le téton. Il fit de même avec le deuxième sein, puis réalisa de larges mouvements qui massaient en profondeur toute sa poitrine. Il sentait sous ses paumes les tétons érigés, et sous ses doigts les galbes fermes et arrondis. Il étendit ensuite ces mouvements au ventre et à la taille. Barbara était toujours plus brûlante et plus ondulante, chaloupant de tout son corps.
Il lui demanda alors de poser ses avants bras en appui sur la table. Tandis qu’elle s’exécutait, troublée et silencieuse, il s’installa sur un second siège juste derrière elle de sorte que son torse vienne à peine au contact de son dos, et qu’elle puisse sentir son souffle chaud courtiser la naissance de son cou.
Il déposa ses mains au contact de la taille de Barbara, qui se dessinait comme les flancs d’un violoncelle. La chair était chaude et accueillante. Il commença par faire glisser ses pouces de bas en haut, au niveau de ses reins. A chaque passage, elle laissait son dos se cambrer à son extrême limite, afin de le sentir prendre possession de son bassin. Il étendait progressivement la zone du massage , effectuant de larges mouvements sur ses fesses, le mielleux de sa taille Leurs deux corps semblaient exécuter une danse amoureuse, faite de vagues ondulantes charnelles. Quand il arriva au niveau du cou, il effectua de petits pétrissages sur ses muscles délicats. Il les sentit fondre et s’épanouir doucement sous ses doigts , et ne put réprimer quelques baisers que son souffle chaud déposa en une bise légère. Barbara y répondit instinctivement en basculant sa tête en arrière jusqu'au contact de son épaule ; et en reculant sa croupe qui prit toute la dimension de sa virilité exacerbée. Il effleura son ventre de sa main gauche, réservant sa main dominante pour taquiner la racine de sa poitrine. Elle se recula légèrement pour qu’il en prenne davantage possession. Il se saisit alors pleinement de ses seins impudemment tendus, frictionnant les mamelons avec le creux de ses paumes, et malaxant la partie charnue, générant sursauts et frissons. Elle ouvrit ses jambes toujours un peu plus, et une forte odeur de sexe, aux contrastes musqués et ambrés diffusa dans la pièce.
Alors qu’il parcourait d’une main l’intérieur de ses cuisses, elle s’en saisit délicatement et l’amena sur son entrejambe. c’était très chaud, presque brûlant, il avait l’impression de tremper ses doigts dans une sorte de puit de plaisir. Barbara, les cuisses grand ouvertes, oscillait au même rythme que lui. Elle prenait maintenant sa respiration à pleins poumons pour soupirer violemment ; c’était très différent des gémissements habituels des femmes, souvent surfaits et volontairement marqués ; il s’agissait de cris puissants et directs, Ils étaient à chaque fois plus forts et plus violents, annonçant la jouissance imminente. Celle-ci vint sous la forme d’une contraction violente de tout le corps de Barbara , qui se plaqua de toutes ses forces contre lui. Il sentit sous ses doigts le resserrement de la vulve mouillée de cyprine, puis son lent relâchement qui accompagnait la détente de ses muscles. Sentant qu’elle reprenait lentement pied à la réalité, il lui glissa de petits baisers dans le cou, ponctués de mots tendres. Rendez-vous fut pris pour le lendemain, mais cette fois ci pour un massage plus intime ... voire plus ...