Allongée sur le divan, sa robe légère étalée, je sentais à travers le tissu la douceur et la chaleur de sa peau. Ma main s'était glissée sous son corsage. Sa peau etait chaude, un peu moite. Je la carressais avec douceur, elle aimait cela. Ses reins se creusaient, sous le desir qui montait en elle, elle avait les yeux fermés, la bouche légèrement entre-ouverte, elle posa une de ses mains sur la mienne, la pressant, avec un petit sourire sur le coin de ses lèvres
nous sommes arrivés chez moi, Jusqu'où allions-nous aller ? Elle m'a suivi dans la chambre, j'ai mis un peu de musique, ouvert les volets restés fermés. Elle s'est assise sur le lit, son regard etait une invitation à lui tout seul, les jambes croisées, légèrement en arrière elle s'appuyait sur ses mains. Elle remarqua mon regard qui remontait, le long de ses jambes, elle les ouvrit doucement, sa toison etait dans la lumière, claire, presque blonde.
Je m'approchais d'elle doucement , je remontais doucement mes mains le long de ses mollets, soulevant sa jambe. Elle se laissa glisser sur le lit, je la rejoignis, nos deux corps l'un contre l'autre, j'embrassais sa bouche, ses levres. je decouvris un sein, il etait encore dur, bien rond, si sensible. je le sentis dur sous ma langue. la salive qui j'y deposais doucement etait notre lien, je tournais autour de son teton doucement , puis relevant un peu la tete, j'emis un souffle leger, un frisson la parcoura,
J'avais descendu, le haut de sa robe, jusqu'à son ventre, ses seins etaient là devant moi me pointant fièrement, elle etait si frêle, si jeune, si désirable à la fois. J'embrassais son ventre, je jouais de la langue, elle se tendait tendrement émettant de petits gemissements, presque inaudible.Je faisais glisser sa robe , le long de ses jambes, elle etait nue contre moi, j'aimais son corps, elle etait vraiment tres belle, fine, douce, si fragile d'apparence. J'embrassais son corps, avec envie et delactation.
Je posais mes mains entre ses jambes, passais un doigt sous les levres fines , legèrement gonflées de plaisir et d'envie. Je les caressais, tendrement, doucement, sensible aux reactions que je faisais naitre en elle, variant les vitesses, la pression, les faisant rouler sous mes doigts, Tous mes sens en eveils, pour mieux la ressentir, je la sentais se retenir, se contenir,la pression se faisant de plus en plus forte, oprressante. elle venait je le sentais, elle agrippa ma tete se contractant d'un coup tandis que sa gorge lachait un rale long, suivie d'autres contractions alletantes. Je remontais vers sa bouche et l'embrassait, son souflle et sa respiration etait courte, presque inaudible, mes mains parcouraient son corps carressant ses flancs, un sein, le contour de ses hanches, remontant le long de ses jambes , J'embrassais son corps, deposais sur elle milles baisers tendres, je ne voulais pas la brusquer, être sûr de son désir. elle avait les yeux brouillés, humides, Une larme coula sur sa joue , telle la rosée du matin, perlant sur une fleur,
je me plaçais au dessus d'elle, elle prit mon sexe dans une main et commençait à se carresser avec. Parcourant, la chaleur humide de ses levres intimes. frottant son clitoris et redescendant doucement à l'interieur de ses levres. Je sentis sous mon gland l'orifice, je prenais le temps , je la voulais detendue autant que possible. je sentais sa vulve se dilater quelque peu et mon gland s'aventurait, chaque fois un peu plus, je continuais à l'embrasser, j'avais pris une de ses mains, nos doigts etaient entrelacés et à chaque pression je serrais aussi sa main. Le gland etait rentré. son vagin etait doux, chaud et etroit, je continuais ma lente penetration, et c'est son corps qui peu à peu s'est offert, telle une fleur au matin de sa premiere floraison.
j'etais si bien, que je ne me rendis meme pas compte du temps. Cela m'a semblé une eternité de douceur et de plaisir controlé. son souffle etait lent , aussi lent que la penetration, sans doute et plus je penetrais en elle plus il etait long et profond. Presque etonné, j'atteignis le fond, je restais un moment en elle sans bouger , toujours en exerçant une legere pression, elle avait les yeux fermés, Elle etait resté offerte, la bouche ouverte, tout son corps, tout son esprit etait figé sur la douce penetration et les sensations qu'elle engendrait.
Je l'embrassais , passant ma main dans ses cheveux, carressant son visage. Doucement je commençais le va et vient, elle avait les yeux grand ouvert, etonnée je pense , elle se mordillait les levres, doucement le rythme s'accelera, elle etait maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quittais son regard, sublime d'etonnement, de satisfaction, de plaisir naissant. je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne fallait pas , pas maintenant pas encore, elle devait profiter de ce moment , je devais tenir , encore un peu, quelques minutes .
Son souffle devint court , plus saccadé, elle se mordait les levres, recherchait ma bouche, serrait mes doigts d'une main et avait agrippé mon epaule de l'autre, les traits de son visage etaient tirés, les yeux fermes, mes va et viens etaient devenu des asssauts, je m'arquais en elle, accelerant sans cesse le rythme, nos regards, nos doigts entrelacés, nos sexe unis dans un meme elan, un même desir, cette envie folle qui nous etreignait, la bouche ouverte elle redressa la tete,dans un rale profond et mordit dans la chair de mon epaule, je n'en pouvais plus , encore un assaut, tenir encore un peu, un autre, encore un .... et ... oui ! et enfin la liberation dans un gemissement liberateur, mon sexe dur vibrant en elle, ne cessant ses contractions, se liberant enfin. je l'embrassais encore et encore restant en elle de longues minutes, l'un sur l'autre, comme pour faire durer ce moment inoubliable, j'aurais aime en cet instant, que pour nous deux, le temps s'arrete !