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dimanche 14 décembre 2025 - 07h17rech / rep
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(taille reelle)
hypnotisé ()
Elle se tenait dans l'ouverture de la porte, en longue robe de nuit de soie blanche. Sensuelle, aguicheuse, des yeux brillant et humides. J'etais hypnotisé. Elle referma la porte derrière elle. et s'approcha de moi Elle caressa mon visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de ma peau pour s'imprégner de mon odeur. un parfum capiteux et envoûtant de feminité, un mélange étrange de fleurs, de chair, lascivité, volupté.
Elle posa un doigt sur ma bouche. le glissant sur mes lèvres. sa langue s'introduisit dans ma bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. Ses mains m'enlacerent pour me coller encore plus fortement à elle. Les fines bretelles de la robe tombèrent. Je lui rendis son sauvage baiser et cherchais moi aussi à pénétrer sa bouche, Nos lèvres s'écraserent les unes contre les autres dans un obcène bruit mouillé, Nos langues se cherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. Ce fut un ballet violent, animal, sauvage, melant nos souffles, nos haleines, nos salives. Ses doigts courraient sur ma peau, à la limite de l'asphyxie, Elle planta ses yeux dans les miens, un regard de feu, de passion, et c'est en feulant qu'elle me murmura :
- Prend moi !
Elle se laissa couler le long de mon corps, toute la dentelle de sa combinaison caressa mon sexe qui se dressait de plus en plus. Sa voix était chaude, rauque. Je la pénétrais doucement, glissant facilement dans des chairs trempées. Elle s'abandonnait totalement à moi.
Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux, Je me mis à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément en elle. Ses râles augmentaient en intensité. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux, coulissait profondément dans le vagin, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Mon penis était complètement enserré dans son ventre chaud. Je continuais mes va et vients réguliers, méthodiques. Elle était en extase. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice. Elle était brûlante. J'étais en nage. Une chaleur torride irradiait son corps, Mes lèvres dévoraient à nouveau les siennes, Mes dents jouaient avec ses pointes.
Je la pénétrais de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment. Elle râlait sous mes caresses intimes. Une nouvelle penetration plus ample lui déclencha un orgasme qui la tétanisa. Elle me mordit l'épaule. Je continuais mes mouvements ondulatoires accélérant ma cadence amplifiant ainsi sa jouissance. Elle s'aggripa a mes épaules, passa sa jambe autour de ma hanche pour que je la pénètre encore plus loin, encore plus fort. Contractant ses muscles intimes, la pression emprisonnant mon gland fut le signal. Je bandais mes muscles et de toute la puissance de mes reins, je me ruais au plus profond de son ventre, hurlant des rales d'effort à chaque violente poussée. Elle n'en pouvait plus, son sexe était investi, envahi, ses deux jambes serrées autour de ma taille, s'empalant davantage sur mon pieu. Elle fut térassée par une série d'orgasmes en continu. Elle gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgasmes. Je sentis l'imminence de l'eruption. J'accélérais la force de mes allées et venues dans son ventre brûlant. Je sentis ma semence partir de mes bourses pleines, remontant le long de la hampe de mon sexe tendu, explosant enfin par mon gland congestionné. Le jet puissant inonda le point le plus profond de son vagin. C'était un volcan, un flot bouillonant de lave en fusion. A bout de souffle, j'enfouis ma tête dans son cou, lui assenant mes dernieres giclées pour lui exprimer ma gratitude. Nous recherchions notre respiration. Je continuais de coulisser doucement dans son ventre. Elle laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder mon dard planté en elle.
Les dernières caresses de mon sexe d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, m'embrassant tendrement dans le cou. Sa langue envahit délicatement ma bouche pour une dernière étreinte puis elle me repoussa doucement et me fixa dans les yeux, Mon sexe glissa doucement de sa gaine soyeuse, liberant un flot de secretions amoureuses.