En posant ma poitrine sur la tienne que je presse,
J'emprisonne tes jambes en te serrant les fesses;
Nous gémissons ensemble d'une tendre détresse,
Pris d'une passion commune pour ce qui nous oppresse.
Je ramène mes genoux aux côtés de tes hanches,
Tes yeux deviennent fous sous cette invasion franche,
Je me redresse un peu pour caresser ton corps
Et te laisser tanguer entre mes cuisses ouvertes.
Tu y allumes un feu qui m'éblouit bien fort
Mais j'aime te regarder courir droit à ta perte,
La pointe de tes seins redressée fièrement.
La danse de tes reins accélère, plus rythmée,
Je cueille une auréole, je serre l'autre des dents,
Tes nerfs soudain s'affolent, tu t'affaisses essouflée.