Souvent, seule et en vain, je cherche sans repos
La limite indistincte et trouble de ma peau;
Je me perds, je m'égare et je me fuis sans cesse
Dans l'espace à l'entour de moi, vague et abstrait
Et ne me perçois plus qu'a l'intérieur feutré
Du monde merveilleux et pur de ses caresses.