Moment si délicat où ton souffle m'oppresse
Où tous mes soupirs se confondent en paresse,
Caresse mon désir de ta fougue sensuelle
Et dessine moi, muse nue, à tes étincelles.
Prend mon être à ta peau ruisselante
A ton érotisme je dédie ma chair frissonnante.
Parfume mes sens de tes arômes fragiles
En cet instant, évaporée, je serais ta docile.