Par-dessus son corps moite, entre ses mains humides,
Arielle est une mer et son plaisir l’écume,
Et c’est comme un geyser d’une froideur torride,
Une cigarette qu’aucun homme ne fume.
Arielle peut tremper juste avant de trembler,
Sous ses propres vagues et ses doigts disparus,
Elle voudrait hurler avant de succomber
A l’orgasme infernal, au plaisir inconnu.