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dimanche 24 novembre 2024 - 20h48rech / rep
-serv-01-nSummerse3

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(taille reelle)
Je suis trop seule ce soir ()
Monsieur

Je suis trop seule ce soir, dans ma chambre trop vide
J'ai bien compris ce que vous m'avez dis hier
Et ce soir, mon corps frémit déjà sous le satin,
Je ressens des sensations troublantes sur mes seins,
De mes lèvres douces, humides, à ma douce fleur intime
De la rondeur de mes seins, à la chute de mes reins,
De ma jolie petite faiblesse, à la courbe de mes fesses,
Je sais pour vous le goût de mon corps, de tous ses arômes
Senteurs sucrées de longues nuits, parfums secrets et interdits.
et plus encore, si tel est votre désir
Je suis comme cette feuille, toute de dentelles vêtue
Révélant mes courbes à votre œil éffleurant,
prête à me dénuder pour vous, lentement, jusqu’à nu.
Le bruissement de ma douce lingerie
qui glisse sur ma peau, depuis hier fievreuse
Et ce désir qui monte en murmurant votre nom
C'est un désir infini bien au delà des mots
Un désir insensé au-delà des raisons
Il envahit mon corps et brûle dans mes veines
Il coule entre mes cuisses en lentes traînées de feu
Il me coupe le souffle et je respire à peine
Et j'entrouvre la bouche et je ferme les yeux
Le désir est puissant et j'en ai presque mal
Je veux vos mains sur moi, votre peau contre ma peau,
Je veux sentir en vous un désir animal
Aussi fort que le mien, aussi grand, aussi beau
A vos mains mes courbes sont offertes
A vous, la douceur de ma peau sous votre caresse experte
A votre bouche je vous offre ma peau douce, avant les secousses
sachez mordre mes rondeurs avant les chaleurs
humez le désir qui monte entre mes cuisses gourmandes
écoutez bruire le plaisir quand votre sexe vient à grandir
aux portes que vous venez d'ouvrir...
A votre désir mon corps vous est offert
J'ouvrirai pour vous mon lit, trouble appel de la nuit.
Je m'y glisserai, consentante, vous offrant mon corps,
Parant mes deux seins lourds d’ombres douces,
Mes lèvres sont déjà entrouvertes, d’un désir intense, infini,
Vous offrant ma chair nue, prête a vous recevoir
Mon corps se fera dunes, courbures incendiaires,
Sous vos doigts agiles, pénétrant mes humides frontières.
Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime,
tenaillée de ma faim d’appétence animale,
de vous satisfaire, moi, femelle d'un si beau mâle.
Vous me ferez l'amour, je me ferai tendresse
Nous nous ferons l'amour à en mourir d'ivresse
J'ai besoin d’amour cette nuit, jusqu'à la déraison !
Je suis prête à vous satisfaire de tout mon corps
J'ai besoin que vous veniez à moi, sans faire de bruit…
Venez ! Vite ! Je vous attends !