Je repense tous les soirs à cet instant magique. Nous étions enlacés dans le grand canapé, tu t'en souviens ? et pendant que tu m'embrassais passionnément, j'ai senti ta vigueur d'homme se lever et durcir entre mes jambes. J'en étais bouleversée. Et pendant que tu me câlinais très sensuellement, je t’ai senti tout doucement t'enfoncer en moi, délicieuse intrusion dans mes chairs intimes. Tu es resté un moment sans bouger avant d’entamer un doux et lent va et vient glissant tres agréablement sur mes muqueuses. Je te sentais grossir et t'allonger encore a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. Tu faisais de petits mouvements, avec toujours cette pénétration lente, et mes seins dans tes mains. J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie,
Toi, mon amant d'un soir, tu t'es mis à onduler très lentement du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles t'encouragaient. Tes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Ton sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Tu continuas tes va et vients régulers, méthodiques. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. Tu enfonçais ton sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui te remontaient de l'intérieur de mon vagin devaient être suffisamment fortes pour te faire perdre complètement le contrôle de tes actes. Tes mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je n'en finissais pas de râler sous les caresses intimes de mon bel amant fougueux. J’avais les jambes écartées, le sexe trempé qui suintait entre mes jambes, écartelée par le sexe de mon homme qui allait jouir en moi. Je m'agrippai a tes épaules, et passai mes jambes autour de tes hanches pour que tu me pénètres encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes pour enserrer ta belle colonne de chair qui ravagait mes muqueuses les plus sensibles. Le contact de ma douce lingerie, la caresse de ma chair tendre sur tes fesses électrisait ce délicieux moment de tendresse amoureuse.
Tu as alors commencé à accélérer, ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais ton sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi et je me suis mise à gémir sans réserve. Mes jambes tremblaient, je répondais a chacune de tes penetrations en creusant les reins pour que tu puisses aller le plus loin possible. Je n'en pouvais plus. Profitant des poussées fulgurantes de mon amant fougueux, mes deux jambes autour de ta taille, m'empalant davantage sur ton sexe béni. Tu m'as empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de ta proie et me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de mes entrailles je criai mon plaisir. C'était comme une vague qui m'emportait, j’étais au bord de l’explosion lorsque tu as encore ralenti le rytme de tes intrusions allant de plus en plus loin en moi. J’ai senti ton sexe gonfler encore et puis ...
Le plaisir est arrivé, fort, puissant, mon corps s’est mis à trembler. Tu t'es alors enfonçé bien au fond de moi, tu t'es arrêté de bouger ... puis, tu as explosé en moi. J'ai senti le jet puissant de mon fougueux amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin, le flot libérateur de mon puissant étalon envahissait mon sexe ravagé. Enfin je pouvais m'abandonner à la pleinitude de ma jouissance sous les salves successives de ta divine colonne de feu.
A bout de souffle, tu as enfoui ta tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier. Je revenais lentement à la réalité et laissait glisser mes jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder ton beau dard de toi, mon beau mâle. Tes dernières caresses intimes me comblait de bonheur. Je caressais doucement tes cheveux et ta nuque de toi, mon délicieux amant qui m'avait tant fait jouir, t'embrassant tendrement dans le cou. Ma langue envahit délicatement la bouche de mon bel homme pour une dernière étreinte.
Tu fus total, amant, secret, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Tu donnas et pris sans retenue. Tu as su user, et abuser de mon corps, de mes sens, de mes forces. Je t'ai appris en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Je t'ai offert ma bouche, mes mains, mes seins mon ventre et mes reins. Tu étais infatigable de ton corps. Tes premières jouissances furent rapides, furent violentes. Les miennes vinrent plus tard, elle furent sauvages. J'entends encore, dans mes rêves solitaires, résonner mes gémissements, et tes cris rauques quand je te sentais te crisper et me saisir comme pour mieux me garder.
Nous fîmes l'amour longtemps. Tu as été un amant exemplaire, j'ai aimé tes caresses appuyées, tes enlacements enfiévrés, le plaisir que nous partagions ensemble.
Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Tu n'y étais pour rien. J'ai été là au bon moment, où tu avais besoin de te sentir mâle.