J'aime tes caresses, délicieuse sensation ou vibrante détresse,
désir intense de ta virilité, qui s’insinue, s‘immisce, et me pénètre
Jeu de tes mains sur mes seins, jeu de tes doigts plus bas,
Ecarte vite ma robe de satin sur mes lèvres en offrande
Viens vite explorer mon jardin secret gorgé de parfums de désirs
J'aime tes mains glissant le long de mes reins, caressant doucement mes seins
J'aime tes fesses que j'effleure dans l’allégresse,
que je palpe dans une caresse dans nos jeux pleins de tendresse
J'aime tes lèvres qui me transmettent ta fièvre
J'aime tes tendres caresses sur ma douce lingerie !
J’aime le contact soyeux sur mon entre cuisse
J’aime ce doux tissu qui caresse ma fente
Tu glisses entre mes jambes une main chaude et froide.
Tu dessines sur ma peau des oiseaux, des cascades,
Tu souffles des orages sur les méandres de mes veines,
Tu fais porter ma voix plus loin que le ciel.
Tu serres nos corps jusqu’à la douleur.
Tu dessines dans le vide des arabesques d’or.
D'une main habile, tu t'invites entre mes cuisses
Tu y prends en coulisse une moiteur passagère, un parfum capiteux
D'une main tu caresses, de l'autre, tu pénètres
cet insondable gouffre, si avide de tendresse,
Mes lèvres sont entrouvertes, ton doigt glisse en dedans,
pénétration brève Main tiède égarée, rondeurs serrées,
sillon secret, sensations affolantes fluidité de la soie,
pudeur de mes cuisses, moiteur sous le tissu, main tiède affolée,
sombre gorge, portes secrètes, faille offerte, chasteté de dentelle,
Et ce frémissement si doux qui se diffuse dans ma toison
Ma lingerie m'aide à m'offrir à toi et à colorer ton désir.
Tes doigts se font dentelle, effleurent à pas de loup,
ton doigt avance encore, creuse, se faufile. Humidité abondante, majestueuse.
Envie de te perdre totalement entre mes lèvres.
Ta main part à ma découverte, s'immisce un peu plus. Parfum de femme.
Mes cuisses, douces comme la soie, se desserrent
et tu sens maintenant la ligne de partage de ma chair.
Et c'est enfin la pleine rivière que tu remontes sans effort,
Un doigt, c'est trop peu. Deux, c'est mieux. Trois, je soupire. Quatre, j'expire
Tu visites mon ventre. Tu agaces mes muqueuses.
Digital en mon antre, comme un espace inconnu, une autre voie...
doigts brandis dans mon sexe en fusion, extrême onction Sueur, jouissance, passion !
Rougissante, je suis au supplice,
et je rêve qu'en glisse, tes doigts fins effleurent mon clitoris
Mes lèvres intimes s'attendrissent et s'ouvrent sous tes doigts
Enfonce tes doigts plus profondément, écoute mes gémissements réguliers.
Je suis proche de l’orgasme, tout mon corps se crispe sous l’effet du plaisir.
Mes muscles se détendent, se contractent, puis se détendent encore.
De légers spasmes font tressauter mon corps glissant de sueur et de musc
L'orgasme est enfin là, merveilleux, en partage total.
Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté.
Cris étouffés entre nos bouches.
je ne connais pas ton nom...
D'une main vous caressez, de l'autre vous pénètre cet insondable gouffre, si avide de tendresse,
Entre mes cuisses tièdes, tu viens de glisser ta main,
et d'instinct je m'ouvre pour que ton doigt s'insinue dans ma fentine suintante;
Telle une chatte je ronronne, mais mes joues soudain virent a un beau rouge écarlate;
Pour bien garder prisonnière cette main au creux de mon écrin,
tu la serres comme dans un étau de tous tes muscles génitaux;
Puis tu laisses échapper un soupir avant de m'inonder de ton miel.
Mes doigts effleurent, s’attardent, puis s'introduisent. Deux caresses intimes. Tout ton corps se raidit,
ta tête brinquebale, tu chavires, une coulée de plaisir se répand dans ton corps.
tes muscles se contractent, ton cœur bat la chamade. Tu te mords les lèvres,
Tes cuisses se resserrent et emprisonnent la main. Tu me fixes du regard ... et tu me souris
Je sens sous mes doigts un endroit chaud et moite. l'humidité s'intensifie.
Mon doigt est comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonçe entièrement dans des profondeurs inconnues,
t'arrachant des gémissements à chaque pénétration.
La tendre humidité , l 'émotion de tes sens. J 'effleure cette corolle qui est encore cachée,
Cette rose orchidée qui veut que je l 'offense , Qui ouvre ses pétales mille fois désirés.
De mon doigt je poursuis la ligne de ces lèvres Sublimes et si douces, imprégnées de ton miel,
Qui me mènent tout droit au profond de ta fièvre, Puis lève ce bouton jusqu 'au septième ciel.
Un bouton qui cede, ta robe que j'écarte, et sous mes doigts, soudain, une douce toison, pour un autre plaisir, douce exploration
J'abandonne ta bouche et caresse ton ventre Un souffle, un gémissement, Un frisson, un soupir,
Je te sens trembler et tu m'entends gémir. tes seins contre moi qui se frottent doucement...
et je sens le velours de ta langue qui glisse en même temps sur ma peau enfiévrée...
Audacieux, j'explore le plus petit recoin, jusqu'à venir me perdre au creux de ta féminité...
Et ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise, et ces frémissements qui n'en finissent pas.
Je ne sens ma main vraiment vivante que quand elle s’enfonce entre tes deux cuisses
pour y chercher ton sexe qui se laisse découvrir comme un beau fruit dans l’herbe
Ma main sculpte tes seins et l'autre te dessine.
Aux flots de tes cheveux, tombant sur tes épaules, Je glisse mon visage et ma joue te ravine,
Mes lèvres te goûtant, baisers que tu me voles.
Un peu comme un aveugle, en te prenant les mains, Je te découvre en braille et cherche tes chemins.
Comment me détacher, mes doigts que tu enserres, Le soc de ma charrue labourant en tes terres.
Tu ronronnes féline et, mi-femme, mi-chatte, Tu me dis "je suis sage" et puis, d'un coup de patte,
Tu m'affoles indécente et tu fais connaissance De mes sens en attente qui te sont renaissance.
Tu es là, assouvie de nos folles amours, Tu rêves alanguie au fil de ce parcours,
Mon livre entre tes doigts, repos de la guerrière, Pour que ton âme vaque en vague cavalière.
Ma main t'entre-baille, vivante rose de cyprès, et tout de suite travaille, d'un doigt léger, le clitoris.
Fin chef-d'œuvre de la nature, vit d'oiseau, pine en miniature,
bouton subitement durci, qui, dans l'écartement des lèvres, tout baigné d'amoureuses fièvres,
dresse la tête et bande aussi.
Ma main tout doucement, se pose sur ton genou, Elle reste là, figée, n’ose pas d’avantage,
Se permettre autre chose serait un rêve fou, pourtant tant de trésors et tant d’autres rivages.
Et voilà que ma main se permet une avance, elle doit se sentir bien car elle s’arrête à nouveau,
L’endroit est doux et chaud et mérite une danse, une cuisse qui vibre, rien ne sera plus beau.
Mais pourtant sans attendre elle remonte un peu plus, sous la jupe à présent la voici qui découvre,
Comme un léger barrage en un bout de tissu, sans frapper à la porte la voilà qui l’entrouvre.
La main a dû trouver là sa destination, car elle ne bouge plus de cet endroit divin,
Et voilà qu’elle s’endort dans un léger frisson, rêvant à d’autres lieux, et à d’autres câlins.
ma main tremblante avance vers tes flancs. Contact. Douceur.
sur ton ventre, peau de pèche velouté fragilité Contact soyeux. Découverte.
Ma main glisse et s'égare, tes cuisses s'ouvrent. mes doigts explorent cet univers inconnu, rêvé.
Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, si délicatement offert.
Mes doigts gênés s'égarent et avancent en terre inconnu. Raidissement soudain de ton corps, tétanie passagère.
Regard vers tes yeux, mon amour ... C'est bon ? Encore ? Je continue ... ?
C'est toi qui le demande, tu diriges ma main, mes doigts,
les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas...
Tu me nommes les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief,
de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir.
Ouvre tes jambes, prends mes flancs.
Dans ces rondeurs blanches et lisses, ouvre tes genoux tremblants …
ouvre tes cuisses, ouvre tout ce qu’on peut ouvrir
Dans les chauds trésors de ton ventre, j’inonderai sans me tarir L’abîme où j’entre.
Source d'amour, fontaine de douceur, joli petit ruisseau apaisant toute ardeur, mal et langueur
ô lieux solacieux et gracieux séjour délicieux, voluptueux, plus que tout autre au monde
Petit sentier qui droit mène à la bonde d'excellent bien et souverain plaisir,
Heureux sera cil duquel le désir contentera qui prendre te pourra et qui de toi pleinement jouira
Je te salue, Ô merveillette fente, qui vivement entre ces flancs reluis;
Je te salue, Ô bienheureux pertuis, qui rend ma vie heureusement contente!
C’est toi qui fais que plus ne me tourmente l’archer volant qui causait mes ennuis;
T’ayant tenu seulement quatre nuits Je sens sa force en moi déjà plus lente.
Ô petit trou, trou mignard, trou velu, D’un poil folet mollement crespelu,
Qui à ton gré domptes les plus rebelles: Tous vers galans devraient, pour t’honorer,
A beaux genoux te venir adorer, Tenant au poing leurs flambantes chandelles!