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jeudi 28 novembre 2024 - 10h24rech / rep
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(taille reelle)
douces perspectives ()
Mon cher,

Mon corps pour vous est prêt à se faire soyeux, De votre sexe, faites moi douceur, Je voudrais le sentir caresser, glisser, se faire onctueux pour mieux remonter ma chair. je voudrais le sentir m'explorer, remonter, s'immiscer dans mes tendres muqueuses
m'explorer plus loin, se faufiler, me pénètrer. se perdre enfin au fin fond de mon ventre, où vous pourrez gouter mon doux parfum de femme.
Je vous sens si fort, si fougueux ... Oh oui ... je vous sens déjà ! Je me suis prête à me donner toute à vous, esperer l'orgasme, merveilleux, en partage total. Qu'il se fasse rivière, fleuve, océan de volupté. c'est si bon ! Vous me ferez tant de bien ! Je garderai dans ma chair un souvenir de vous !
Vous viendrez en moi comme un arbre vivant fleurissant dans ma chair, s'épanouissant en mes veines vous me donnerez votre sève qui coulera en moi en longs flots continus
Ces moments seront trop brefs pour mon corps inassouvi Une fois encore je demeurerai vacante, gardant entre mes cuisses votre doux secret Votre visage aux yeux clos me renverra l'image de ma joie
Je vous aime déjà, mon corps est chaud de vous, c'est par vous que je renaitrai au monde
Monsieur, Je ne connais pas votre nom...


Caresse-moi de tes chaudes mains, donne-moi des frissons, fais-moi rêver dans mon âme et jusqu’ au bas de mes reins. Fais-moi vibrer et trembler. Caresse-moi, oh! Mon charnel corps. Réveille chez moi des sentiments déments, réveille mes sens endormis et morts. Fais moi croire que tu m`aimes vraiment. Caresse-moi, de tes mains, de tes regards. Fais-moi tendre mes muscles, mes nerfs comme les cordes d’une cithare endiablée. Que mon souffle chante comme une sirène. Caresse-moi, jusqu’au bout de mes fantasmes, caresse-moi pour que je sache enfin que tendresse et passion ne sont pas mortes. Caresse-moi de grâce… Fais couler l`huile de l`amour dans mon corps. Caresse-moi...de tes mains habiles. Fais-moi transcender, jusqu’ au creux de mes reins …

Bertino le Pascalois

Tu es ma flèche, fichée dans ma chair, J'ai le corps frémissant. Tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent.
Regarde. Ecoute, touche, respire, goûte, la sueur qui perle à ma peau rougissante, mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur, ma bouche affamée qui cherche tes baisers. Les larmes salées que je laisse s'écouler.
Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir, ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant, les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Au rythme de ton corps, je me plie sans effort. Courtisane lascive, soumise et attentive Au plus profond de moi, ton sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux. Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps.
Tu t'enfonces en moi, me penetre, me comble, le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu.
Un glissement onctueux, une penetration lente Un frottement délicat irisé de plaisir. Tu ondules, je t'aspire, tu râles, je gémis. Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin. Je t’enroule, te défait, plonge, se retire. J'avale ton corps. Tu te penches vers moi, je souris. Tu vas et tu viens, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits ; à mordre d’oreiller. Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements.
Tu te retires, laissant le vide. Je me débats, tu me reprends. complètement, passionnément. Ton corps collé au mien tu me pénètres de nouveau, totalement. Te sentir en moi, grossir, durcir et t'allonger, investir mon ventre chaud mes jambes écartées pour mieux te recevoir mes jambes resserrées pour mieux te retenir la jouissance qui monte en moi femme révélée Tu m'investis, brutalement, sans concession, tu me finis. Je jouis. Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et tes yeux sont heureux.