Tu me demandais comment est Louis dans l'intimité avec moi. Je peux te dire que c'est un homme très tendre, un ange de douceur, je fond sous ses caresses. Je pense à ses mains glissant tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sens mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque, l'envie qu'il me touche, qu'il me frôle, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées. Il me caresse alors avec un maximum de tendresse comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemande sans cesse, mon corps tout entier est là pour lui dire que j'adore ça, que j'en ai envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction, je me sens amoureuse, folle.
Quand nous faisons l'amour, j'ai envie de l'aspirer lentement, goulûment en moi, il me rend insatiable et enflammée. Je m'enfile sur lui, allant et venant, le retenant au niveau des épaules, lentement, comme sur une balançoire. Les yeux dans les yeux, nos regards crépitent d'envie. Le rythme insidieusement s'accélére par la magie de nos désirs sans cesse renforcés. Avec lui, j'ai tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance. j'aime aussi sa force animale quand il s'empare de moi, Je me mords les lèvres, je secoue la tête, j'ai envie de crier. Et puis j'explose, ravagée par les spasmes à répétition la seconde vague arrive, déclenchée par sa jouissance, profonde, puissante, énorme... Une nouvelle fois ensevelie sous les ondes de plaisir qui me dévorent encore et encore, qui me donnent la chair de poule et des frissons partout. C'est bon, merveilleux, pétillant...
Louis est mon bel et merveilleux homme, total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il donne et prend sans retenue. Il sait user, et abuser de mon corps, de mes sens, de mes forces. Il est encore bien vigoureux, infatigable de son corps. Ses jouissances sont rapides, sont violentes. J'aime. Les miennes sont plus sauvages. Je crois qu'il aime.
Nous faisons l'amour longtemps, Il me remercie de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressent. Je m'avoue perverse et imaginative alors que je ne me connais que passive et classique. Il n'y est pour rien. Je suis là au bon moment, où nous avons besoin l'un de l'autre.