Ce que j'aime par-dessus tout, c'est cet instant un peu fou
Quand tu viens tout contre moi, que la raison n'est plus loi
Dans l'extase de nos baisers, sentir nos corps s'embraser
Prés à défaillir sous le langage de nos désirs
On se cherche on s'attire, sans rien se dire
Parfois jusqu'à l'expire à en mourir
Ce que j'aime éperdument, c'est la force des sentiments
De nos corps à corps qui en redemandent plus encore
Le parfum enivrant, le décor La douceur,
la saveur de ton corps
Nos désirs, nos délires, nos plaisirs
Exaltants, existants, envoûtants
Ce que j'aime après l'amour, quand nos élans n'ont plus cours
Ce sont ces moments tendresse, nos silences et puis le reste
Allongés, repus, vainqueurs, sur le lit de l'impudeur
Sans dessus dessous
Et savourer par-dessus tout le goût de toi
Ce tout dernier plaisir Et puis s'endormir
Ce que j'aime mon tendre amour, dans la richesse de nos jours
C'est la déraison, qui nous unit dans la passion