Elle s'est positionnée doucement sur moi, me fixant intensement. Puis elle a pris ma verge, outrageusement bandée et l'a dirigée entre ses grandes lèvres. J'ai alors senti un étui chaud et humide qui l'entourait petit à petit, l'engloutissait et la brûlait.
Elle s'empalait sur moi, doucement, interminablement, ralentissait sa descente, la reprenait.
Cette lente pénétration affolait nos sens. La sensation était délicieuse, sublime, troublante.
Je la sentis toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait.
- Tu aimes ? m'a-t'elle dit simplement
Elle me souriait, savourant ses propres sensations et les miennes en se penchant vers moi.
Elle se soulèvait un peu et se baissait à nouveau, les yeux à moitié fermés,
Elle s'agitait, s'empalait un peu plus, sur mon sexe qui se tendait et s'allongeait dans ses chairs.
Une penetration prodonde. Elle se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait.
Elle me suçait, m’aspirait, me tirait, me poussait, s'appliquait, en jouant de mon corps.
Elle se donnait du plaisir, se masturbant sur mon sexe.
c'était suave, onctueux comme un doigt dans le beurre, nous étions au paradis,
je sentais ses legeres contractions sur les parois de ma verge prete à exploser.
le spectacle de ses seins ballottant au-dessus de moi me donnaient vigueur !
Je bandais au fond de son ventre, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée bien au fond,
nos ventres se frottaient l'un contre l'autre.
Puis, elle se déchaîna, se mit à crier, la bouche ouverte, haletante,
puis se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus,
elle jouissait, au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe
jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide !
Le doux clapotis de nos sexes emboités donna le signal
Je dechargeai à n'en plus finir au fond de son ventre par salves successives
et un immense sentiment de bien être m'envahit !
nos corps furent agités par de violents frissons,
Elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la voiture
Je ne l'ai jamais revue