J'avais trouvé ma place au 8e rang, coté couloir. Les passagers avancaient avec leurs bagages. Une jeune femme a tout de suite retenu mon attention, elle cherchait sa place elle aussi et semblait encombrée d'un sac noir volumineux et lourd. Elle s'arrêta à mon niveau et soupira, semblant soucieuse à l'idée de me déranger. Elle portait un chemisier blanc moulant des poitrines saillantes dans un delicieux soutien-gorge couleur bien visible sous son décolleté, et une robe fluide fendue sur le devant. J'avais du mal à cacher mon trouble.
- c'est ici, j'y suis - je crois que j'occupe le siège à coté de vous !
puis elle tenta un court moment de soulever son sac vers le casier en mettant tres en relief ses jolies rondeurs.
- Attendez ! je vous aide, lui dis-je.
En saisissant la poignée du sac je touchais inopinement son corsage, elle me sourit
- vous etes gentil ! me dit-elle dans un delicieux accent quebecois
Je levai le sac avec elle, rempli des effluves d'un délicieux parfum de christian dior, puis le coinçai dans le casier. Elle me remercia avec un large sourire, ôta son manteau, et s'installa à coté de moi, se mettant à l'aise, ce qui ne fit qu'augmenter mon trouble.
Nous avons décollé à l'heure prévue. Au bout d'une heure de vol, la radio de bord annonçait des turbulences. Ma voisine semblait avoir quelques difficultés à boucler sa ceinture et m'appela à l'aide. En me penchant vers elle pour l'aider je fus litteralement envouté par sa douce chaleur parfumée. L'appareil commencait à tanguer serieusement dans tous les sens, et je sentis ses mains me serrer l'avant bras,
- les secousses me font peur. Vous acceptez vous que je vous tienne le bras ? me demande t'elle en forme de supplique
Ses doigts se crispent à chaque bourrasque. Elle collait ses épaules contre les miennes en attendant que l'orage passe. Puis le calme revint, et elle reprit sa place en s'excusant en posant sa main sur mon bras, le serrant tendrement, en me remerciant d'un sourire qui me fit fondre litteralement.
Nous bavardions et faisions connaissance. Survolant l'irlande, elle me reprit le bras avec plus d'insistance pour me montrer le coucher de soleil. Je sentis ses effluves subtiles. Ma tete touchait presque la sienne au bord du hublot. Mon sang bouillonnait. Puis les lumieres s'éteignirent. L'hotesse nous donna deux couvertures pour la nuit. Ma voisine me proposa avec un sourire complice d'en prendre une pour nous deux, puis elle l'installa sur nos genoux. Elle me reprit le bras et me dit avec un sourire complice
- nous sommes bien ici, nous pouvons dormir.
Puis, elle s'endormit ou feignit de s'endormir. Mes pensées se bousculaient dans ma tête. la climatisation amenait un air frais sur nos tetes, je saisissais l'occasion pour prendre la couverture et la relever sur elle. Je sentis alors sous la couverture une main se poser tendrement sur ma jambe pour me remercier, mais cette main resta en place.
Mon pantalon se gonflait et ce relief commencait à me gêner sérieusement, je ne savais plus ou me mettre. Elle s'en aperçut et me lança un sourire mutin en inclinant la tete vers moi. Je ne retenais plus ma main droite qui se posa sur la sienne sous la couverture. Elle me laisse faire, puis elle laissa sa tete s'appuyer completement sur mon épaule. Tout se précipitait. Ses joues se colorerent. Mon pantalon se tendit. Prenant alors ma main avec force, elle la dirige maintenant vers elle, vers des jambes que je sens fremir. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle écarte, puis resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main. Puis ses cuisses se deserrent à nouveau comme une invitation. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe bandé sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus.
Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe, abaisse sa légère culotte et me presente sa croupe. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens une main le saisir et le diriger vers sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, camouflés par la couverture s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Mais la radio de bord annonce déjà la descente à destination. Ma main remonte alors le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Personne ne semble se douter de rien à coté. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains. L'avion atterrit. Elle me quitte et me dit:
- Je prends la correspondance pour quebec ... et vous ?
Je trouve ma place au 8e rang, coté couloir. Les passagers avancent avec leurs bagages. Une jeune femme retient mon attention, elle cherche sa place elle aussi et semble encombrée d'un sac noir volumineux et lourd. Elle s'arrete à mon niveau et soupire
- c'est ici, j'y suis - je crois que je vais vous deranger !
puis elle tente de soulever son sac vers le casier en mettant en relief de très jolies formes. Elle porte un chemisier blanc moulant des poitrines saillantes dans un delicieux soutien-gorge couleur chair, et une robe fluide fendue sur le devant. Je cache à peine mon trouble.
- Attendez ! je vous aide, lui dis-je.
En saisissant la poignée du sac je touche inopinement son corsage, elle me sourit
- vous etes gentil ! me dit-elle dans un delicieux accent quebecois
Je leve le sac avec elle, puis le coince dans le casier. Elle me remercie avec un large sourire, ote son manteau, et s'installe, se mettant à l'aise et dans le même temps augmentant mon trouble.
Nous decollons. Au bout d'une heure de vol, la radio de bord annonce des turbulences. Ma voisine a quelques difficultés et m'appelle à l'aide. En me penchant vers elle pour fixer sa ceinture, je suis envouté par sa douce chaleur parfumée. L'appareil commence à tanguer serieusement dans tous les sens, je sens les mains de ma voisine me serrer l'avant bras,
- les secousses me font peur. Vous acceptez vous que je vous tienne le bras ? me demande t'elle en forme de supplique
Ses doigts se crispent à chaque bourrasque. Elle colle ses épaules contre les miennes en attendant que l'orage passe. Puis le calme revient, et elle reprend sa place en s'excusant. Je lui souris.
Elle pose alors sa main sur mon bras et le serre tendrement en me remerciant d'un sourire qui me fait fondre litteralement.
Nous bavardons et faisons connaissance. Survolant l'irlande, elle me reprend le bras avec plus d'insistance
pour me montrer le coucher de soleil Je sens ses effluves subtiles. Ma tete touche presque la sienne au bord du hublot. Mon sang bouillonne. Puis les lumieres s'éteignent. L'hotesse nous donne deux couvertures pour la nuit. Ma voisine me propose avec un sourire complice d'en prendre une pour nous deux puis elle l'installe sur nos genoux. Elle me reprend le bras et me dit
- nous sommes bien ici, nous pouvons dormir.
Elle s'endort ou feint de s'endormir. Mes pensées se bousculent. la climatisation amene un air frais sur nos tetes, je saisis l'occasion pour prendre la couverture et la relever sur elle. Je sens alors sous la couverture une main se poser tendrement sur ma jambe. Mon pantalon se gonfle, je ne sais plus ou me mettre. Elle s'en apercoit et me lance un sourire complice en inclinant la tete vers moi. Je ne retiens plus ma main droite qui se pose sur la sienne sous la couverture. Elle laisse faire, puis elle laisse sa tete s'appuyer completement sur mon épaule. Tout se precipite. Ses joues se colorent. Mon pantalon se tend. Prenant alors ma main avec force, elle la dirige maintenant vers elle, vers des jambes que je sens fremir. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle écarte, puis resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main. Puis ses cuisses se deserrent à nouveau comme une invitation. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe bandé sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus.
Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe, abaisse sa légère culotte et me presente sa croupe. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens une main le saisir et le diriger vers sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, camouflés par la couverture s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Mais la radio de bord annonce déjà la descente à destination. Ma main remonte alors le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Personne ne semble se douter de rien à coté. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains. L'avion atterrit. Elle me quitte et me dit:
- Je prends la correspondance pour quebec ... et vous ?