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jeudi 28 novembre 2024 - 11h47rech / rep
cptr-g-21@ stud-13x-miss

cptr-g-21@ stud-13x-miss
(taille reelle)
dans la fièvre ()
Je la prends dans son lit. Elle est là, contre moi, dans la fièvre de moi ... Je glisse en elle, puissement et de plus en plus vite. Je m'arrête, je reviens, je ressors. Ses lèvres me happent, m'attrapent, m'emprisonnent. Ses parois se contractent pour m'aspirer en elle. Elle halète et soupire au même rythme que moi. Tout son corps imprime le mouvement et le rythme. Elle se cambre, mes mains, montent et descendent le long de ses jambes. Et son rythme, les mouvements de son corps, comme une onde, se propagent à mon corps. Je vais et je viens, de plus en plus loin, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je ne pense plus, je bande !

Puis, d'un coup, de violentes secousses lui traversent les entrailles... Elle se met à trembler, se crispe et s'immobilise toute, elle jouit ! Serrant mon sexe bandé au fond de son vagin bouillant Elle clame sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, un spasme violent la désarçonne. Elle se soulève, se cambre, comme tétanisée. se laisse emporter dans un long râle. Notre union se veut animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir les corps, c'est la trop grande chaleur de l’été et nos corps sont déjà irradiés de joies intimes. Vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un feu d’artifice Elle se déchaîne, crie, la bouche ouverte, haletante, Elle frissonne, elle tremble.....Tout son corps vibre. Elle part...
envolée prodigieuse, elle brâme, elle rugit, C'est une longue plainte sauvage, un long râle de volupté Elle se déhanche, se tortille, tout en soupirant de plus en plus fort.
Je sens ses contractions, ses mains griffent les draps, Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. la sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Son corps se tend et vibre, elle jouit et m'emporte avec elle. Je me lache. Je jaillis dans son ventre qui m'avale, qui me boit. Je me vide, par saccades, Je m'immerge dans son corps, je me noie. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement. Puis elle s'abandonne, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent.

Mon corps disparaît dans le sien, je suis cette verge qui la bourre, l'enfonce, reviens et repart. Je sens le sperme qui monte, progresse par paliers, accentue sa pression, Il monte encore, je me tend, je me bloque ... c'est la première giclée. Chaude, visqueuse, elle explose au fond de son vagin. puis une seconde et une troisième. Nous gardons le rythme, continuons à nous agiter dans tous les sens. Les salves faiblissent. Le rythme se ralentit, s'adoucit. Je sors de son ventre, lentement. Remonte le long de ses lèvres. Ses jambes glissent le long de mes cuisses, Elle s'assied, se penche vers mon sexe, encore dur mais déjà mollissant. Je caresse ses cheveux. Merveilleuse inconnue.