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jeudi 28 novembre 2024 - 12h03rech / rep
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(taille reelle)
Sergine ()
D’un geste, je fis glisser ma petite jupe bleue qui s’écroula à mes pieds. Sans même qu’elle me le demandât, j’ôtai aussi mon corsage, et demeurai simplement vêtue d’une courte culotte très collante en jersey de soie bleu pâle, et d’un très léger soutien-gorge de tulle, bien serré sur mes jeunes seins. Alors, sans un mot, la grande blonde se leva, me prit par la main, et collant son corps au mien, m’entraîna sur le divan où nous tombâmes ensemble. Avec brusquerie, elle m’embrassa sur la bouche, et je sentis sa langue fraîche franchir le rempart de mes dents consentantes. Longuement cette langue fouilla ma bouche, me grisant de sa caresse. Les seins durs de la lesbienne se pressaient contre ma poitrine. Ses mains glissées derrière moi m’étreignaient la croupe, enfonçant entre mes fesses le fin jersey de ma culotte. Vibrante d’ardent désir, je lui rendis son baiser, et explorai à mon tour l’antre hospitalier de sa bouche ouverte. D’une main fébrile, Sergine fit sauter le bouton de mon soutien-gorge. Délivrés, mes seins dardèrent, irrités et durs, prêts aux caresses. Alors avec un sourd gémissement de plaisir, la belle blonde colla sa tête à ma poitrine, et saisit entre ses lèvres la pointe d’un sein qu’elles pressèrent.

Avec un cri, je renversai la tête et offris mieux encore mon sein à la subtile caresse. Emprisonné dans la bouche de la femme qui le suçait ardemment, il écrasait entre les dents de nacre son beau globe de chair brûlante. Et lorsqu’enfin la bouche le délivra, je me renversai sur les coussins, folle de plaisir. Sergine se leva, et arracha sa veste de pyjama, mettant au jour une victorieuse poitrine, à la peau blanche comme du lait. Elle dénoua le pantalon de soie noire, qu’elle enjamba. Elle était divine, dressée dans l’épanouissement de sa chair. Seule sa croupe était emprisonnée dans une mince culotte de soie blanche, rendue vivante par le gonflement des fesses magnifiques. Elle s’abattit sur le divan comme une bête ivre d’amour. De nouveau, nos corps se soudèrent, nos jambes s’enlacèrent, et nos reins houleux se livrèrent un harmonieux combat. Je sentais contre mon ventre la courbe du sien, et nos seins roulaient, pressés par notre étreinte. Les mains de la lesbienne caressaient à nouveau mes fesses, par dessus la culotte. J’en fis autant, et effleurai de mes doigts tremblants le fond du pantalon de soie que portait ma nouvelle amie. Sergine poussa un soupir ; alors avec sauvagerie, je me mis à pétrir ce splendide derrière, et mes ongles crispés déchirèrent la soie blanche. La jeune femme se pâma, s’écrasant encore plus contre mon corps. Nos culottes collantes et minces nous permettaient de sentir le gonflement de nos féminités. Et le rythme de l’amour, pareil à celui de l’homme, nous conduisait à l’extase dans le magnifique tumulte d’un corps-à-corps éperdu.

Soudain, ensemble, nous poussâmes un cri de volupté et de triomphe. Et tandis que dans mes bras Sergine se renversait, presque évanouie, je sentis ma culotte se tremper brusquement d’un fluide d’amour.

Alors, le silence et la pénombre pesèrent sur nos corps apaisés, double forme nouée, blanche et pâle sur les coussins noirs du divan.