Angela s'écarta de moi, me fixa avec des yeux legerement mouillés. Elle déboutonna, un à un, les boutons de sa robe, m'ouvrant la vision de sa délicieuse lingerie. Angela était devant moi, la robe ouverte sur sa combinaison blanche. Deux beaux seins généreux, dans une position d'attente. Elle était comme offerte, prête à se donner totalement. Je pris ses hanches et l'attirai vers moi, très doucement. Elle pâlit. Les bras écartés, offerte, immobile, elle était totalement passive mais dans ses yeux brillait le désir. Je caressais ses formes, sa peau sombre, puis ses beaux seins, legerements tombant, les pointes agressives. Je bandais à la limite de l'indécence. Elle devait s'en apercevoir. Elle écarta lentement ses cuisses, docile, et je commençai à lui masser la vulve, elle se mit à soupirer et à murmurer des mots que je ne comprenais pas. Ma main fouillait sa chair intime et moite. Elle eut un petit spasme, doublé d'un cri rauque.
Je n'en pouvais plus, je la désirais violemment et elle semblait receptive.
Délicatement, Angela dégage les bretelles de sa combinaison. Sans qu'elle fasse un geste, le fin tissu glisse doucement le long de son corps et s'étale en corolle à ses pieds. Je prend la combinaison encore tiède et respire ses effluves. Sa douce lingerie diffuse son odeur, son parfum, c'est chaud, c'est doux ! la douceur du nylon que je passe sur ma peau, fait gonfler ma verge comme jamais.
- Vous pouvez la garder en souvenir si vous voulez.
- J'ai une douce nuisette dans le tiroir de la table de nuit, qui va vous plaire, j'en suis sure
En ouvrant le tiroir, je tombe sur ses dessous intimes. Ses petites culottes rangées sommairement, sophistiquées, en soie ajourées de dentelles.Je m'empare de sa nuisette, une courte chemise de nuit tout en satin jaune paille très fluide. Je la passe au dessus de sa tête et l'ajuste sur sa poitrine. le haut épouse la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glissent sur le satin; descendent vers ses cuisses, avec de longs va et vient. Le tissu devient manifestement mouillé. Je glisse mes doigts sous la soie. Je passe une jambe entre les siennes, j'entoure ma cuisse du velouté de sa combinaison. Je sens le doux tissu effleurer mon ventre avant de sentir ensuite le contact de sa poitrine Puis elle écrase ses seins contre mon torse et ne bouge plus. Je suis fou. Elle me regarde en me fixant intensément.
- Monsieur ... Je suis prête !
Je dirige mon gland et je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Je la pénétre puissement au plus profond de son ventre. Elle gémit comme une petite fille. Profondément empalée sur ma verge, son jus tiède m'inonde le bas ventre, je m'enfouis bien profondément, écartant bien ses lèvres toutes distendues. Je goute pleinement l’odeur de son sexe, je m'enivre de ses effluves.
- Vous me sentez bien, Angela ?
- Oh oui Monsieur ! C'est si bon !
Ma queue reste bien enfouie dans son sexe, elle diminue un peu de volume mais reste quand même bien dressée. Elle en profite pour continuer à se coulisser un peu elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant sous mes yeux ne tarde pas à me redonner encore de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bande encore plus au fond de son ventre. Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante,
- Oh Monsieur ! Je vais jouir !
elle m'encourage à lui en donner encore plus ! Elle se déchaîne, ses seins ballottent de droite à gauche elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je n'y tiens plus ... J'accélère, ... je me fige, je me bloque ... et je lâche un flot de sperme qui gicle par saccades au fond de son profond vagin
- Oh Monsieur ! C'est si bon ! Merci ! Vous m'avez fait du bien ! Il y a si longtemps !
Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je m'affaisse sur elle, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous sommes haletants, apaisés, heureux. Je garde dans mes mains cette lingerie fine et douce, pleine de mon odeur, de son odeur, pleine de nos sécrétions amoureuses, cette lingerie que j'ai écarté un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle, qui alors s'est tachée, de nos jouissances, de notre orgasme joyeusement partagée, cette lingerie si remplie de nous deux, et qui me fera comme un souvenir le jour durant.