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jeudi 28 novembre 2024 - 14h38rech / rep
serv-01cpt-m2-01@ serv-07

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(taille reelle)
lingeries ()
Je passais ce soir là devant la chambre de Louise, notre aide menagere. Son armoire était restée ouverte, présentant sous mes yeux sa lingerie fine qui, face à mes 18 ans me fit immediatement fantasmer, quitte à alimenter mes pollutions nocturnes. Je revais de la toucher, respirer son parfum et elle était là, à ma portée. Je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des piles de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge, des bas, des collants : une adorable combinaison rose, elle sentait bon, c'était chaud, c'était doux ! un soutien-gorge rose, deux culottes blanches en nylon, très douces. Tout cela n'arrangeait pas mon état. soutiens-gorge adorables, petites culottes blanches, noires, rouges, fantaisie des culottes en nylon presque transparent. douces au contact. des combinaisons. une vingtaine, souvent des nouvelles. Je pris dans mes mains une combinaison couleur ivoire encore tiède et je respirai ses effluves. le contact du tissu soyeux aggravait systématiquement mon etat ! Je l'ai emmenée avec moi me jurant de ne rien lui avouer.
Retiré dans ma chambre, Je l'enfilais et profitais de la douceur du nylon sur ma queue tendue, La douceur, la fraîcheur du tissu faisait gonfler ma verge comme jamais. Sa douce lingerie sentait bon la femme, c'était chaud, c'était doux ! je me caressais le torse, les cuisses, les fesses, avec le doux tissu, la jolie dentelle titillant agréablement mon corps. Je serrai mon paquet bien fort, fermai les yeux. Je sentis alors mon sperme bouillonner dans mes bourses, remonter en gonflant ma hampe et jaillir avec une force inouïe dans le doux nylon. Je mis de longues minutes à me remettre de cette jouissance. J'ai fini par m'endormir. J'ai passé une nuit merveilleuse avec la douce combinaison de Louise.

Le lendemain matin, j'enlevai la combinaison et m'apprêtait à la remettre à sa place dans l'armoire de Louise. C'est à ce moment qu'elle me surprit. Apres m'avoir observé un moment, elle me dit avec un sourire rempli de malice
- Vous aimez ma lingerie ?
Apres m'avoir observé un moment, elle alla fermer la porte de la chambre et revint vers moi,
- Vous voulez choisir celle dans laquelle vous aimeriez me voir ? ... Je la mettrai pour vous !
Puis, délicatement, elle dégagea devant moi les bretelles de sa combinaison. Sans qu'elle fasse un geste, le fin tissu glissa doucement le long de son corps et s'étala en corolle à ses pieds, ne laissant sur elle qu'une fine culotte de soie et un soutien-gorge valorisant de magnifique poitrines.
- Vous la voulez ? Vous pouvez la prendre ! je vous la donne ... en souvenir
Je pris la combinaison encore tiède et qui diffusait ses effluves. Puis elle me demanda de choisir une lingerie de nuit dans laquelle j'avais envie de la voir. En ouvrant le tiroir, à coté de ses dessous intimes, de ses petites culottes en soie ajourées de dentelles rangées sommairement, Je repairais une nuisette, une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide
- Prenez la ! Je vous laisse la mettre sur moi !
Je la passais au dessus de sa tête et l'ajustais sur sa poitrine. le haut épousait la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glissaient sur le satin; descendaient vers ses cuisses, avec de longs va et vient . Le tissu devenait manifestement mouillé. Je glissais mes doigts sous la soie.
Elle me prit alors contre elle, passa une jambe entre les miennes, entoura ma cuisse du velouté de sa combinaison. Je sentais le doux tissu effleurer mon ventre avant de sentir ensuite le contact de sa poitrine. Puis elle écrasa ses seins contre mon torse et ne bougea plus. J'étais fou. Elle me regarda en souriant.
- Eh bien ? qu'attendez-vous ?
Elle me donna alors un tres sensuel baiser qui acheva de me faire fondre. Elle me regarda fixement
- Tu comptes me regarder longtemps ?
- Tu veux bien ôter mon soutien-gorge ?
Je commençai à passer mes mains sur ce corps offert, caressant ses seins à travers la dentelle. Puis je passai mes main dans son dos pour degrapher le doux tissu qu'elle jeta negligement sur le lit. Puis elle commenca à me deshabiller lentement.

Malou prit ma main et m'entraîna vers le lit. Elle serra son corps contre le mien, me fixa de nouveau dans les yeux,
- Julien je vais te faire plaisir ! Laisse moi faire !
Malou se laissa alors couler le long de mon corps, le caressant de toute la dentelle de sa combinaison. Sa douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait mes bourses. Son souffle chaud se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea à poursuivre, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse Mes spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est mon sexe entier qu'elle aspira, sur toute sa longueur. Elle suçait ma verge dure comme l'acier, la lissait avec une vigueur qui m'excitait au plus haut point. Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de mon mat dressé dans sa bouche. Les tréssautements, les contractions de ma verge sous sa langue et entre ses doigts m'excitaient au plus haut point. Mon sexe était luisant de sa salive. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement, affolé de ce qu'elle était en train de provoquer
- Malou ... je ... je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête de mes mains, dirigea son regard vers le mien.
- Julien, mon chéri, tu vas venir en moi et me donner toute ta sève, au fond de mon ventre.
Et elle se mit sur moi, pris mon sexe et se l'enfila sans attendre engloutissant aussitôt mon gland tumefié qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait elle aussi se faire jouir. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle coulissait vigoureusement sur mon dard pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche
- Malou ! Oh Malou ... Je viens !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, Malou resserra ses lèvres intimes autour de mon sexe pour ne rien perdre de ce nectar, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Elle pompait avec ardeur mon jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Elle n'en finissait pas de pomper cette verge bandée, cette hampe luisante sur toute sa longueur. Les joues creusées pour tout aspirer, Malou m'adressa un regard langoureux. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté à la scene. Je recherchai mon souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti ma salive, je regardai Malou. Vision de rève, irréelle. Le visage était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir de nouveau. Elle recommença avec ses lèvres un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était de nouveau le paradis. Je sentis mon corps se tendre une nouvelle fois, ma respiration s'arrêter et, tout d'un coup, je n'y tins plus ! la délivrance. Le feu partit de mes bourses, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes. Elle attendit la fin de mes soubresauts, et vint s'allonger près de moi et m'embrassa violemment.
Elle était là, contre moi, allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. Ses lèvres reprirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Je me penchai vers sa poitrine et pris un téton entre mes lèvres. Puis, de la langue, j'entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l'autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l'un à l'autre pendant de longues minutes, sans qu'elle se lasse.
- Tu es adorable ! Mais maintenant, j'ai envie d'autre chose !
Elle me prit dans ses bras, m'embrassa. Je passai ma main sur son ventre et je m'aventurai jusqu'à sa touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai ses poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Elle me murmura dans l'oreille :
- Viens, je veux maintenant te sentir dans mon ventre !
Elle écarta les cuisses et Je me couchai sur elle. Elle prit mon sexe, le pointa à l'entrée de sa vulve, Elle noua ses chevilles dans mes reins et propulsa mon sexe en elle Nous sommes restés un moment à savourer cet instant. Et je commençai des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s'accrochait à mon cou, m'embrassait furieusement, sa langue était de feu. elle triturait un sein et m'agrippait par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses étaient brûlantes et detrempées. Je sentais la mouille qui s'écoulait contre mes bourses chaque fois que ma verge s'enfonçait. Je voulais atteindre le cœur de la fournaise. Je la sentis qui s'ouvrait et qui m'aspirait dans son puits sans fond.
- Viens, Vide-toi, n'aie pas peur, mon cheri ! je veux ton sperme, tout ton sperme !
Je me sentis devenir incandescent, j'accélérai la cadence et la force de mes poussées. Je me bloquais et je me vidais en elle dans une serie de spasmes genereux
Quand j'ouvris les yeux, je vis le visage défait de Malou qui me regardait. Nos yeux étaient embués, nos corps étaient collés par la transpiration, nous sommes restés longtemps accouplés, immobiles. La sensation du retrait de mon sexe me chagrina, je ne voulais pas la quitter. Elle me prit dans ses bras et me berça doucement.