Lucien, le jardinier, avait un faible pour moi, un faible qui n'était pas faible. Il était monté comme un taureau. Il irradiait de puissance et il savait me le prouver. Apres m'avoir installé ce matin-là sur ce matelas déposé au fond de la remise, il me pénétra d’abord lentement, comme pour me travailler, me préparer. Je sentais son enorme queue raide qui glissait dans mon ventre pour me lubrifier. Puis il s’immobilisa. Je ressentis une sensation d'envahissement, de puissance et de chaleur intime, Il s'enfonca à nouveau, jusqu'au fond. Un puissant sexe mâle était enfoncé en moi, je le sentais vivre dans ma chair. Ce sexe était enorme et brulant, il était planté en moi, immobile. J'avais l’impression d'être remplie.
Son souffle devenait brûlant, il triturait mes seins, les palpaient en tous sens, je sentais la puissance indécente de ses mains, la saveur de ses doigts, Je le sentis palper les rondeurs de mes fesses, j'étais fascinée par le vacillement de ses yeux, il profitait de ma chaleur, de mon odeur. Je jouissais de sa vigueur !
Il durcissait ! ... et s'allongeait dans mon ventre ! Il bandait comme un Seigneur dans mes chairs tuméfiées ! Je sentais en moi la raideur et la taille insolente de sa queue, j'avais envie, là, tout de suite, de me faire posséder, de me faire envahir, de me faire baiser. Il glissait longuement en moi, ondulait à plaisir, allait dans tous mes recoins.... Puis il mit plus de puissance dans sa charge, me laboura, me besogna, me prit sans ménagement et, sous l’effet de ses ondulations, m’offrit une ribambelle d’orgasmes.
Il explosa une première fois, m’arrachant une jouissance infinie, giclant en moi sa liqueur douce amère, en plusieurs jets successifs. Il m'abreuvait de son liquide épais, se lâchant et jouissant sans limites au fond de mon ventre
Il resta en moi immobile un moment, mais reprit vite de la vigueur, il me fit l’amour ainsi de façon puissante une demi-douzaine de fois. Puis je sentis son sexe, toujours enfoncé en moi, diminuer doucement de volume et ressortir lentement, liberant un flot de secretions amoureuses. Il s'échappa totalement, me laissant allongée, exsangue après cette fougueuse épopée. je l'ai laissé glisser hors de moi, dans un curieux bruit de succion et de glissement mouillé, liberant un flot de semence accompagné d’un torrent de son jus qui me coula délicieusement entre les fesses, J’étais aussi épuisée que lui, La tourmente fit place à un calme absolu. Je me sentais sans force, je pleurais doucement. Je restais là, les cuisses ouvertes, béante. L’air sur mes cuisses trempées de sperme me donnait le frisson.