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dimanche 01 décembre 2024 - 06h43rech / rep
cptr-n-43@ serv-12

cptr-n-43@ serv-12
(taille reelle)
Mon corps s'est offert à lui ()
Mon corps peu à peu s'est offert à lui. Il m'a pénétré lentement, son souffle était lent. Plus il me pénétrait, plus il était long et profond. Lorsqu'il atteignit le fond, il resta un moment en moi sans bouger, j'étais offerte, la bouche ouverte, tout mon corps jouissait de sa puissante penetration. Il passa sa main dans mes cheveux, carressa mon visage. Doucement le rythme s'accélèra, j'étais maintenant totalement ouverte chaude et douce à l'interieur, je ne quittais plus son regard, satisfait. je sentis en lui venir le plaisir, l'envie de s'abandonner, il s'enfonça de nouveau dans mes entrailles. Je fermais les yeux. Une fois, puis deux, les mouvements se firent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un curieux bruit de succion. sa verge plongeait en moi et gonflait en meme temps. Elle occupait mon espace tout entier. Il s'inquièta de moi:
- Vous êtes bien ? ... Vous êtes prête à aller jusqu'au bout ?
- Oui mais pas tout de suite ... Pas encore ...
Il s'agrippa alors à mes épaules et reprit ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regardait. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me concentrai sur ce gros gland qui me fouillait et que je commencais à aimer. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple.
- Louise, je crois que je viens ! Vous voulez que je me retire ?
- Non ! Restez !
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je. Venez ! Vite !
- bien au fond !
Je me cabrai pour qu'il vienne vite, il accelera ... puis il s'arrêta net, tendit ses muscles, bloqua sa respiration et crispa son regard
Il emit un long rale. Je sentis alors un flot de me remplir, comme inondée d'une douce chaleur. Il me remplissait le ventre. Il semblait en avoir des litres! Puis, il s'effondra, avec des grondements d'ours blessés.
- Oh Louise ! C'est si bon !
Des voiles se refermerent, la tension se relâcha, sa chaleur humide s’épancha de mon corps. Ma respiration se fit profonde, le calme revint... Progressivement, tout retomba... Il resta planté en moi, immobile ... Une lourdeur pesante envahit mes membres. Une paix profonde nous gagna, toute de quiétude et de sérénité... nos corps étaient repus... Je caressais avec tendresse sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné.