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dimanche 01 décembre 2024 - 06h38rech / rep
--serv-12-assisenes-de-sexerie

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(taille reelle)
Le bureau venait de se vider ()
Il n'a pas perdu de temps. Je venais de terminer le nettoyage du bureau, après avoir fermé la porte derrière moi, Il m'a installé sur la desserte et a défait nerveusement sa ceinture. J'étais chaude et mouillée d'excitation.
Il s'affairait sur moi, écarta ma fine culotte, baissa son pantalon, sortit sa queue qui glissa d'un coup dans ma fente, je me cambrai et d’un coup de rein, Il engloutit tout son sexe dans mon ventre jusqu’aux couilles.
Puissamment, il glissait dans mon ventre. Je l’aspirai de mes muscles, le pressai, Il ressortit, poussa encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens.
Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Il accélera, très vite, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. Je resserrai mon vagin, il ne tenait plus. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa alors un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. il déchargeait en moi. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c’était chaud. Il ressortit, entra de nouveau, s’arrêta net, envoya une dernière giclée, le se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond de mon ventre, ne bougeant plus.
Il resta là, affalé sur moi, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repoussai, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. la verge ressortit, entraînant le foutre qui coulait dans ma fente. Je me lèvai en vitesse, ma culotte trempée, collante, il en coule toujours, qu’est-ce qu’il m’a mis !

Plaquée contre le mur, Jeanne n’offre plus aucune résistance. Excité à l'extreme par son corps, ses seins, ses hanches, je n’y tiens plus. Ma main remonte sa robe. Elle me souffle à l'oreille.
- Oh oui ! fouilles-moi ! ... plus profond !
Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je lui caresse un sein puis les deux, Elle guide ma main. Nos bouches se joignent une nouvelle fois etouffant nos cris. Je me sens comme une bête. La tension est si forte !
par quoi commencer ? Je n’en peux plus. Je veux ce corps, je veux le sentir, je veux m’y introduire, je veux la faire monter au ciel, m’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore.
La robe de Jeanne tombe au sol. soutien-gorge de dentelle noire et culotte en satin. j'ecarte la fine lingerie, je respire son odeur. elle ecarte les cuisses, je guide mon sexe sur ses lèvres intimes, sa grotte est glissante, moelleuse et profonde. Je m'enfonce ... Je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Elle halète, tend ses lèvres, me caresse le torse. Une poussée, deux poussées
- Ohh Ouuii !
et je la remplis.

Il s'affaire sur moi, écarte ma culotte, baisse son pantalon, sort sa queue glisse son gland dans ma fente, je me cambre et d’un coup de rein, Il engloutit son sexe jusqu’aux couilles. Il réagit, fait deux ou trois va-et-vient, il bute au fond de moi. Et très vite, il s’arrête, se crispe, je sens son sexe se raidir, se contracter.
Je resserre mon vagin, il ne tient plus, il décharge en moi. À chaque secousse je sens ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c’est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s’arrête, envoie une dernière giclée, se vide, puis s’enfourne jusqu’au fond, ne bouge plus.
Il reste là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je me lève en vitesse, ma culotte est trempée, collante, il en coule toujours, qu’est-ce qu’il m’a mis !