Nos deux corps se touchent, se serrent, se palpent. Nos vêtements se froissent, nos peaux au contact dégagent un parfum de luxure. Nos mains fourmillent sur le corps de l'autre. l'air est déja chaud. Je sens sous ma robe légère, la douceur de ses mains et le relief indecent de son desir qui se lève.
Il défait nerveusement sa ceinture. Je suis chaude et mouillée d'excitation. Il s'affaire sur moi. Plaquée contre le mur, je n’offre désormais plus aucune résistance et suis même de plus en plus excitée. Mes mamelles gonflent, ma respiration est courte. Il me caresse un sein puis les deux, je guide sa main. Nos bouches se joignent une nouvelle fois etouffant nos cris. Je le sens comme une bête. La tension est si forte ! Sa main se glisse, explore, s'immisce. Ma peau est chaude, un peu moite. Il me caresse avec ardeur. Mes reins se creusent, je ferme les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte,
Je veux ce corps, je veux le sentir en moi, je veux qu'il me penetre, qu'il me fasse monter au ciel, s’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore.
D'une main habile, il s'invite entre mes cuisses et palpant mon entrejambe, il y prend en coulisse une moiteur passagère, un parfum capiteux. D'une main il caresse, de l'autre il pénètre mon insondable gouffre, si avide de tendresse. Rougissante, je suis au supplice. Humidité abondante, majestueuse. Envie qu'il se perde totalement entre mes lèvres ouvertes. Parfum de femme. Mon orgasme monte, arrive, il est enfin là, merveilleux, en partage total. Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté. Cris étouffés entre nos bouches.
Il reprends ses carresses par des mouvements legers, puis de plus en plus precis. J'attrape sa bouche, je suçe ses levres. Nos bouches se joignent etouffant nos cris. Il s'agite sur moi, comme une bête. La tension est si forte ! Sa main caresse, explore, écartèle, Je n’en peux plus. Chaleur. Suffocation.
Il relève ma robe, ma combinaison de nylon, j'abaisse fiévreusement ma culotte en satin, il degraphe mon soutien-gorge. ecarte ma fine lingerie, il respire mon odeur. Je baisse son pantalon qui tombe. Il sort sa queue et glisse son gland sur ma fente, je me cambre et le temps d'écarter et de baisser completement ma fine culotte, je le sens s'enfoncer d'un coup en moi. Puissamment, il glisse dans mon ventre. d’un coup de rein, Il engloutit en moi son sexe jusqu’aux bourses. J'ecarte mes cuisses, je m'offre à lui, guide son sexe entre mes lèvres intimes, ma vulve est glissante, moelleuse et profonde. Il s'enfonce ... il s'immisce .... Pénétration .... onctueuse. Il va et vient ... lentement, puissement, mes muqueuses l'aspirent, le palpent, le serrent. Il s'enfonce en en moi, me pénètre, me comble, le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu. Un glissement onctueux, une pénétration lente, un frottement affolant. Il ondule, je l'aspire, il râle, je gémis. Il me serre, je le dévore. Il s’enfonce ... loin, très loin. Je l’enroule, le défais, il plonge, se retire. J'avale son corps. Il se penche vers moi, je lui souris. Je perds pied. Il va et vient, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits à mordre d’oreiller.
Il se donne, je le prends, ronronnements, feulements. Il se retire, laissant le vide. Je me débats, je le reprend. complètement, passionnément. Son corps collé au mien, il me pénètre de nouveau, totalement. Le sentir en moi, grossir, durcir et s'allonger, investir mon ventre chaud. Mes jambes écartées pour mieux le recevoir, mes jambes resserrées pour mieux le retenir. Il est ma flèche, fichée dans ma chair, mon corps est frémissant. Il remue en moi la terre et le feu, la mer et le vent. Courtisane lascive, soumise et attentive, au rythme de son corps, je me plie sans effort,
Très vite, il s’arrête, se crispe, je sens son sexe se raidir, se contracter. Je sens qu’il est sur le point de non retour. Il accélere, il tremble et se fige au fond de moi. Il pousse un cri rauque. Son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sens qu’il défaille. Ses jambes semblent ne plus vouloir le soutenir. Il décharge en moi en salves successives. À chaque secousse je sens ses jets de foutre. Il me remplit le vagin, c'est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s’arrête, envoie une dernière giclée, se vide, puis s’enfourne jusqu’au fond, ne bouge plus. Il reste là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je me lève en vitesse, ma culotte trempée, collante, il en coule toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laisse glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaisse sur moi, épuisé. Je suis aussi épuisée que lui.