Elle est assise à quelques mètres de moi, me jette des regards furtifs par moments, ses poitrines somptueuses à l'étroit dans un corsage de soie moulante. Elle n'arrête pas de jeter des regards fugitifs dans ma direction. Elle me provoque, et je rêve déjà des caresses que je pourrais lui faire. Je rêve de me placer derrière elle, de glisser doucement mes mains sous ses seins, de découvrir la douceur de ses poitrines généreuses et bien visibles sous son chemisier. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge discret. Je rêve de promener mes mains délicatement le long de ses seins, puis les serrer doucement, et recommençer. Je sens déjà sa douce chaleur. Je rêve de les palper, les caresser à loisir. Elle ferme les yeux
Ca y est, Elle est maintenant contre moi, son cou contre mes levres, laissant échapper quelques soupirs au gré de mes chaudes caresses. Sa douce chair laiteuse contraste avec ses aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevent des tétons turgescents. Mes deux mains chaudes se posent maintenant en coupe sous ses seins et les pressent tendrement. Je plaque ensuite mes doigts sur ses mamelons, cherchant à les enfoncer dans la masse laiteuse. Je recommence plusieurs fois, empoignant cette fois ses seins à pleine main. Elle sent bien maintenant mes mains chaudes qui pressent légèrement ses volumes mammaires, les palpe doucement pour en apprécier la souplesse. Puis je les rapproche l'un de l'autre. Je les lâche ... ils reviennent en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fait sortir ses pointes. J'enfonçe mes doigts, dans sa chair laiteuse, j'effectue de petits cercles concentriques et écrase ses tétons. Elle ressent des ondes de chaleurs. Mes doigts n'en finissent pas de la traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, elle se cambre pour mieux offrir ses poitrines gonflées d'excitation. Elle est au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de ses cuisses crispés à l'extrême, je l'entends geindre. Immobile, elle essaye de respirer lentement et profondément, sa vulve est envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. Je pétris ses seins, les frotte l'un contre l'autre, les déplaçe, arrachant à chaque fois en moi, un long ronronnement de bien-être. Il les palpe, les caresse. Elle est affalée sur sa chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de mes caresses.
- Monsieur je vous apporte le classeur à signer ?
Je sursaute, je reprends mes esprits. J'ai rêvé !