arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
dimanche 24 novembre 2024 - 21h55rech / rep
cpt-w2-40@ secr-08msns copie

cpt-w2-40@ secr-08msns copie
(taille reelle)
derrière elle ()
je me suis posté derrière elle, mon souffle dans son cou, ma main sur son épaule, elle se détendit et sa respiration se fit plus profonde. Je posai une main sur un sein puis mes les deux englobant ses deux seins Deux poitrines bien rondes, harmonieusement dessinées, légèrement comprimées dans un soutien-gorge trop étroit. je glissai une main sous le soutien-gorge, je découvrais pour la première fois au toucher ses douces et souples poitrines. Je defis promptement l'attache du soutien-gorge. Je promenais mes mains délicatement sous ses seins, puis les serrais doucement, et recommençais. sentant cette fois-ci une douce chaleur. Je les palpai, les caressai à loisir. Elle fermait les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de mes caresses. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents. Mes deux mains chaudes, en coupe sous ses seins, les pressaient tendrement pour en apprécier la souplesse. Puis je les rapprochai l'un de l'autre. Je les lâchai ... ils revenaient en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fit sortir ses pointes. J'enfonçai mes doigts, dans sa chair laiteuse, et écrasai ses tétons lui declenchant des ondes de chaleurs, elle se cambrai pour mieux offrir ses poitrines gonflées d'excitation. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de ses cuisses crispés à l'extrême, je l'entendais geindre. Elle essayait de respirer lentement et profondément, elle était affalée sur sa chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de mes caresses.
Elle a soudain posé une main sur la mienne, et a commencé à me guider dans son chemisier. J'ai aussitôt plongé les deux mains dans l'échancrure, et j'ai recommencé mon massage, sentant cette fois-ci la douce chaleur des seins sans la barrière du tissu. Anna a déboutonné un peu son chemisier et l'a écarté, révélant ainsi son joli soutien gorge blanc qui enserrait ses seins bronzés. J'ai continué à les pétrir, les frottant l'un contre l'autre, les déplaçant en tout sens, arrachant à chaque fois un long ronronnement de plaisir. Enfin, comme je la sentais vibrer sous mes doigts, j'ai délicatement écarté le soutien-gorge et libéré ses gros seins qui tressautèrent comme s'ils étaient contents de s'échapper. Les tétons étaient marron foncés, bien durs, avec une large aréole à la base. Sans aucun tissu entre eux et moi, je pouvais maintenant les palper, les caresser, les tortiller et les chatouiller à loisir. Anna s'est renversée sur sa chaise avec un véritable gémissement de plaisir. Elle était affalée sur sa chaise, la tête renversée en arrière, les yeux fermés,
laissant échapper des gémissement continus de plaisir au gré de mes caresses. A un moment elle changea légèrement de position écartant très légèrement les jambes, je plaçais ma main devenue impatiente sur l'intérieur de sa cuisse gauche, à hauteur du genoux. Cette caresse magique changea son attitude , elle poussa un long soupir de plaisir, relevant la tête, cambrant son corps et écartant plus largement ses jambes. Je bandais terriblement.

je commençai à caresser ses poitrines souples. la chaleur monta à ses joues, la faiblesse s'installa dans ses jambes. Je sentais sous le tissu de sa robe légère, la douceur de sa peau, chaude, un peu moite. Je la carressai avec tendresse, et douceur. Glissant mes mains sous le fin tissu du soutien-gorge, j'englobai désormais la totalité de ses seins que je caressai et palpai avec beaucoup de douceur, érigeant ses pointes sensibles. Ses reins se creusaient, elle fermait les yeux, sa bouche légèrement entre-ouverte, L'une de mes mains descendit le long de son ventre, se glissa sous l'élastique de la robe,
- Ecoutez, je ne peux pas me concentrer si vous continuez, me dit-elle à bout de souffle.
je fis pénétrer en elle un doigt, lentement, en pinçant l'un de ses seins à travers le soutien-gorge. Lise poussa un long gémissement, se cambra, puis essaya à nouveau de se concentrer sur les mots écrits. je me mis à dégrafer son soutien-gorge, Je commençais à la sentir s'abandonner, fragile, dépendante.
- Vous en êtes où ? lui demandai-je
Elle chercha à me balbutier une réponse incompréhensible, mes doigts se mirent à la fouiller de façon plus franche. Elle poussa un cri, écarta d'un geste souris et clavier, et s'accrocha à la chaise pour se cambrer au maximum. J'avais du mal à garder mes doigts en elle, mais elle ne tarda pas à avancer le bassin pour que je puisse aller plus au fond. La main en coquille sur son sexe, je commençai à la branler activement. Lise se laissait aller, je la sentais offerte sous mes mains, son corps bougeant de lui même, ses halètements se faisant de plus en plus débridés, Elle jouit alors en retenant un peu ses cris, secouée par ses spasmes, Nous avons alors échangé un sensuel baiser, mes doigts toujours en elle.
- Je n'en peux plus ! Vous m'avez poussée à bout ! Je suis à vous, je suis prête !
c'était bon, pour moi et pour elle, Je la pris sur la table, je la baisais. Je bougeais en elle, de plus en plus vite, elle ondulait sous moi et nous cherchions tous deux à nous accorder. Je n'étais plus très loin de l'apothéose, et elle non plus je pense. Quand j'ai vu ses mains chercher à s'accrocher à quelque chose, je les ai prises dans les miennes et nous avons joui presque ensemble, elle juste après moi. je la regardais dans les yeux en gémissant alors que ma semence tapissait ses parois intérieures. et elle partit dans une série de cris ponctuant son plaisir. Après un long moment passé à nous embrasser, j'ai glissé à côté d'elle, nous nous sommes essuyés et elle s'est lovée dans mes bras. Je l'ai alors invitée
- Venez, je vous emmène chez moi !