Elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Nous n'avions pas remarqué que la porte du bureau s'était ré-ouverte. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens.
- Plus vite !
J'étais bientôt sur le point de non retour. Je lui fis savoir
- Non ! Pas tout de suite ! Continue ! Bien au fond ! Je veux te sentir bien long !
J'amorçais plusieurs va et viens, je butais au fond d'elle. Et très vite, je m’arrêtai, me crispai, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. Je tentai de me retirer ...
- Non ! Reste ! Bien au fond !
- Maintenant ! Vas-y ! Decharge !
J'accélerai, Je la sentis trembler lorsque j'atteignis le fond. Elle resserra son vagin, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque. je déchargeai en elle. Mon premier jet vint frapper le fond de son ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je me sentis défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. À chaque secousse, elle pouvait sentir mes jets de foutre. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus.
C'est à ce moment que nous fumes surpris par le patron
Je restais là, affalé contre, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Elle me repoussa, la verge ressortit, entraînant le foutre qui coule dans sa fente. Elle se lèva en vitesse,sa culotte trempée, collante, il en coulait toujours,
- Je ne vous derange pas, j'espère !
- Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que tu m'en a mis !
Genés, je me laissai glisser hors d'elle, dans un bruit de succion terriblement erotique, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi.
- il faut vite re-ouvrir le bureau, sinon ils vont se douter de quelque chose.