Une femme mystérieuse, nous la pensions seule
Nous l'avons carressée, mille fois,
Laissant libre cours à nos inconscients
Regards troublés, désirs naissants,
Nous la sentions à la fois proche et rebelle,
Une main sur sa taille, chaude caresse, un rêve,
L'ensorceler La faire notre.
Elle est belle. Où sont ses failles...?
A la fin de la danse Elle nous avait mis en transe
De sa souplesse sensuelle De son décolleté offert
A nos yeux comme des fenêtres A nos âme de poètes !
Car nos yeux, d'une même lueur ont luit :
Cette femme, nous allions l'aimer !
De concert, en symbiose, D'une même flamme,
D'une même tendresse, Des mêmes caresses !
Pour la porter au pinacle, (Cyr)
Sur sa peau douce… caresses et passes,
Nos sexes face à face, se glissent en elle et s’effacent,
Se faufilent dans sa chair … Ça glisse…et coule
Fesses impasses… petite mort lasse…
Bouches et lèvres tracent et tissent
Un fil de délices sur nos peaux douces et lisses…
Qui jouissent. (Prune)