Nous sommes desormais à l'abri des regards, cachés dans la remise, Louise est maintenant totalement offerte, assise sur l'étagère, nos deux corps se touchent, se serrent, se palpent. Nos vêtements se froissent, nos peaux au contact dégagent un parfum de baisers. Nos mains fourmillent sur le corps de l'autre. l'air est déja chaud. Je sens sous sa robe légère, la douceur de sa peau.
Plaquée contre le mur, Louise n’offre désormais plus aucune résistance et semble même de plus en plus excitée. Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je lui caresse un sein puis les deux, Elle guide ma main. Nos bouches se joignent une nouvelle fois etouffant nos cris. Je me sens comme une bête. La tension est si forte ! Par quoi commencer ? Je n’en peux plus.
Petit à petit, ma main se glisse, explore, s'immisce. Sa peau est chaude, un peu moite Je la caresse avec ardeur, elle semble aimer. Ses reins se creusent, elle ferme les yeux, la bouche légèrement entre-ouverte,
Je veux ce corps, je veux le sentir, je veux m’y introduire, je veux la faire monter au ciel, m’y accrocher, redescendre et recommencer, encore et encore.
elle pose, une de ses main sur la mienne, et me guide vers des endroits plus intimes. D'une main habile je m'invite entre ses cuisses et palpant son entrejambe, j'y prends en coulisse une moiteur passagère, un parfum capiteux. D'une main je caresse, de l'autre je pénètre son insondable gouffre, si avide de tendresse. Rougissante, elle semble au supplice, et rêve que mes doigts fins effleurent son clitoris. Mes doigts se font dentelle, effleurent à pas de loup, mon doigt avance encore, creuse, se faufile. Humidité abondante, majestueuse. Envie de me perdre totalement entre ses lèvres ouvertes. Ma main part à sa découverte, s'immisce un peu plus. Parfum de femme. Son orgasme monte, arrive, il est enfin là, merveilleux, en partage total. Il se fait rivière, fleuve, océan de volupté. Cris étouffés entre nos bouches.
Je reprend mes carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. Assise sur la desserte, elle n’offre plus aucune résistance. Ses mamelles gonflent, sa respiration est courte. Je lui caresse un sein puis les deux. Elle attrape ma bouche, suçe mes levres. Nos bouches se joignent etouffant nos cris. Je m'agite sur elle, comme une bête. La tension est si forte ! Ma main caresse, explore, écartèle, Je n’en peux plus. Chaleur. Suffocation.
Je relève sa robe, je degraphe le soutien-gorge de dentelle et j'abaisse fiévreusement sa culotte en satin. La robe d'Angela tombe au sol. soutien-gorge de dentelle et culotte en satin. j'ecarte la fine lingerie, je respire son odeur. Elle ouvre mon pantalon qui tombe. Elle ecarte ses cuisses, elle s'offre à moi, me guide, guide mon sexe sur ses lèvres intimes, sa vulve est glissante, moelleuse et profonde. Je m'enfonce ... je m'immisce .... Pénétration. Je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Je m'enfonce en elle, la pénètre, la comble, le plaisir monte en vagues, son ventre est en feu. Un glissement onctueux, une pénétration lente, un frottement délicat irisé de plaisir. J'ondule, elle m'aspire, je râle, elle gémis. Je la serre, elle me dévore. Je m’enfonce ... loin, très loin. Elle m’enroule, me défais, je plonge, me retire. Elle avale mon corps. Je me penche vers elle, elle sourit. Je perds pied. Je vais et je viens, les vagues de plaisir, les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine. et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits à mordre d’oreiller. Je me donne, elle me prend, ronronnements, feulements. Je me retire, laissant le vide. Elle se débat, elle me reprend. complètement, passionnément. Mon corps collé au sien, je la pénètre de nouveau, totalement. Me sentir en elle, grossir, durcir et m'allonger, investir son ventre chaud. Ses jambes écartées pour mieux me recevoir, ses jambes resserrées pour mieux me retenir. Je suis sa flèche, fichée dans sa chair, son corps est frémissant. Je remue en elle la terre et le feu, la mer et le vent. Courtisane lascive, soumise et attentive, au rythme de mon corps, elle se plie sans effort,
Je m'enfonçe en elle, lentement, naturellement. Précipices de saveurs. Mon sexe dur, glissant, tournoyant dans ses chairs et son bassin, comme le reflet de mes carresses, elle s'agite. Sa tete en arriere, m'offre une gorge tendue, nos mains semblent avoir trouver un rythme commun. Ses cuisses se serrent, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à mes carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui monte en elle Elle exprime sa jouissance dans un râle long. Elle s'agrippe à moi, serrant les cuisses sur mes doigts, Accélération. Elle tend ses lèvres, me caresse le torse. Sa vulve est glissante, moelleuse et profonde. Je m'enfonce ... je vais et je viens ... lentement, puissement, ses muqueuses m'aspirent me palpent, me serrent. Je la fais monter au ciel, elle s'y accroche, redescend et recommence, encore et encore. Je l'empoigne, elle me griffe, me harnache, Râles, bruits de succion, parfums d'orgasme. Une poussée, deux poussées Quelques aller-retour, râle assourdissant. Je décharge ... et je la remplis. Elle me sourit et en veut encore. Cette secrétaire nymphomane est insatiable. Au fond de la remise, elle me colle littéralement, soutien-gorge a moitié défait.
- Baise-moi encore ! ... dépêche toi ! Je n'en peux plus !
Elle me prend les mains qu'elle plaque sur ses seins. puis elle empoigna ma verge. Je n'en peux plus. Elle relève sa robe et guide mon sexe vers le sien, je sens mon gland aspiré dans son puit humide et chaud. Elle s'excite sur moi, puis se fait coulisser de plus en plus vite, tout en m'embrassant la bouche avec avidité, je lui léche les seins, elle gémit de plus en plus fort, j'accélére la cadence, Elle se déhanche de plus en plus. Je la baise. Elle s'excite. Nous sommes ivres de l'odeur du nos sexes. Elle est chaude, elle a ses fesses rebondies. Je bande comme un cheval, elle me pétrit le sexe, les bourses à pleines mains. Je me met à petrir ses seins, fermes et opulents. je n'ai qu'une hâte, celle de gicler ma sève dans son ventre. elle est si mouillée que je sens sa culotte trempée collée contre sa peau. je palpe sa merveilleuse poitrine. Je la palpe de plus belle en bandant comme un ours au fond de son ventre, elle accélére sans cesse le rythme, elle grogne, elle va venir… Des spasmes soudain secouent son corps, je sens sa mouille à nouveau couler. Et elle jouit ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Elle me conduit au bord de l'explosion, puis, mon corps se raidit. Je sens mon liquide chaud couler dans son ventre. Je ne connais pas son nom.
Au plus profond de son corps, mon sceptre devient roi. Se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux. Se perdre dans l'espace immense. Oiseaux légers au gré du vent. Perdre doucement connaissance. Naître à nous-mêmes en même temps. la jouissance qui monte en elle femme révélée. Je l'investis, brutalement, sans concession, je la finis. Elle jouit. Enflammée jusqu'au cœur. Nous sommes essoufflés, et nos yeux sont heureux.