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dimanche 24 novembre 2024 - 21h27rech / rep
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(taille reelle)
Vite ! ici, maintenant ! ()
Nous nous sommes dirigés rapidement dans l'alcôve, à l'abri des regards, Excitée comme moi à l'idée de nous adonner violemment au plaisir de l'amour pulsionnel, dans cet arrière bureau, elle attrapa ma bouche et me supplia.
- Donne moi vite tes lèvres ... et ta langue ! ...
- Caresse mes seins ! A pleines mains ! Palpe les ! Petris les !
- Sens mon corps contre toi ! Je suis toute chaude ! Je n'en peux plus !
Elle se pressa contre moi, se frotta et m'embrassa sur la bouche. son parfum était intense, Je restai un moment sans réagir. Elle appuya ses caresses. elle semblait déchaînée, ses cheveux legerement défaits, sa respiration haletante, ses seins tressautaient.
- J'ai envie ! et je sais que toi aussi !
Elle ondulait du bassin, collant son ventre contre le mien, Je ne réalisai pas encore totalement ce que nous étions en train de faire, Tout allait trop vite, mais ses baisers auxquel je lui répondais avidement chassaient peu à peu toute pensée raisonnable, ma main exploraient déjà sa peau douce, glissant entre ses deux cuisses
- Tu sens ? ... comme je mouille !
Mes doigts palpaient sa vulve trempée et y pénétrerent par de petites incursions, je la sentis sur le point de défaillir. Mes lèvres toujours rivées aux siennes, je faisais lentement glisser sa culotte de soie le long de ses jambes jusqu'a mi-cuisses. Elle était chaude et mouillée, terriblement excitée. J'écartai son chemisier, puis son soutien-gorge. Les pointes de ses seins étaient dures comme l'acier, chaudes comme la braise, fermes et ronds. Mon pantalon descendu sur mes chevilles, nos vêtements déjà à terre, soutien-gorge, petite culotte éparpillés sur le sol de la remise. Nous étions à moitié nus l’un contre l’autre. Elle mouillait comme une fontaine ! Je caressai ses seins, bien souples et bien fermes. Ma bouche cherchait sa bouche. Je bandais sans retenue contre elle, mon sexe dur droit entre ses cuisses, ses talons haut perchés lui donnaient une cambrure de rêve. Le frottement de ses seins sur mon torse excitait mes sens, mon sexe se lèva et glissa entre ses deux cuisses. Ses mains prirent mes bourses puis entourerent ma verge, c'était divin ! je caressai ses épaules, son dos, la chute de ses reins, ses fesses. Ses poitrines souples glissaient doucement contre mon torse. je savourai cette chair élastique, mon sexe durcissait. Mon pénis grossissait dans sa main. Je sentais la jouissance qui me gagnait.
- Tu vas me le mettre bien profond ! D'accord ?
Elle s'accrocha à mon cou. ses jambes s'écarterent. Elle en voulait plus ! Ses levres intimes s'ouvrirent. Je les sentais, tendres et fragiles ... Elle ne disait rien, les yeux fermés, elle m'attendait. Elle s'accrochait à moi, elle me serrait, se frottait à mon sexe qui se faisait plus insistant. Je malaxais ses lourdes poitrines en titillant les pointes. Elle me tira vers elle, prit mes mains et les posa sur ses hanches,
- Viens vite me le mettre !
Elle sortit mon sexe, l'ajusta à l'entrée de son vagin, qui d'un coup ... l'aspira tel un poulpe chaud et visqueux absorbant sa proie, je m'enfonçais dans son ventre brulant... je me me perdais en elle. Un glissement onctueux, un frottement suave. Elle ondulait, me suçait, m’aspirait, me tirait en jouant de mon corps. Nous glissions délicieusement l'un dans l'autre : Je sentais ses muqueuses se dilater, se contracter pour m'aspirer plus loin... Je glissais en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Elle se masturbait allègrement en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entourait ma verge, l'engloutissait et la brûlait. Ces pénétrations affolaient nos sens. Je la sentais toute entière autour de mon mat, comme si tout son corps m'enserrait. Les contractions qui agitaient son vagin faisaient comme si une main me serrait dans son ventre. La sensation était affolante. Je l'embrassai dans le cou, tout son corps frémissait … elle suintait de cyprine.
- Colle toi à moi ! Que je te suçe, que je t'aspire ! Explore moi ! Perce moi ! Perfore moi !
Notre union se voulait animale, la chair éprise de la chair, Vibrants contacts entre nos peaux. Vibrantes chaleurs de nos corps. Nos visages se mangeaient, ses yeux étaient fermés. Elle s’abandonnait, liquide, légère, je voyageais en elle. Des bruits delicieux de succion accompagnaient mes pénétrations, je m'agrippai à ses hanches, je me mettais à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propageait dans son corps accompagnés de soupirs. Elle se tortillait, gémissante, ses gros seins se soulevant tumultueusement, les jambes écartées sur son sexe offert. Le climat montait et je sentais mes bourses pleines, prêtes à exploser, Ses mouvements se firent plus désordonnés, son corps sembla animé d’oscillations qui échappaient à son contrôle. Elle voulait avaler tout mon corps. Chacune de ses papilles flattait doucement mon gland. Elle s’enroulait, se défaisait, plongeait se retirait. Elle me serrait et me dévorait, littéralement. Le rythme s'accélèra de plus en plus, je sentis son plaisir arriver, ses bras accrochés autour de mon cou, son corps se raidissait, ses muscles se contractèrent, elle me serra très fort ... et partit !... Elle se déchaîna, se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement son sexe se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, Un long râle contenu s'échappe de sa bouche tandis que son bassin s'agita frénétiquement. Mon excitation atteingnit un paroxysme qui se termina en une tétanisation totale, elle se cabra et me supplia de conclure
- Maintenant ! Vite !
Je me plantai en elle, ma verge bandée au fond de son vagin. un trait monta, puissant et massif. Le trait m’échappa ! ... et d’un souffle, je vidais une première fois ma joie en elle, je me libèrai en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise.
- Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair
Je giclai par spasmes riches et généreux. Elle suça et aspira ma queue qui se vidait, suça tout, ne gâcha rien, ne perdit rien. Je restais collé à elle loin, fort, profondemment, Mon sexe bloqué au fond de son ventre, et je continuai à décharger ma liqueur chaude en plusieurs salves rapprochées. Elle fut secouée de spasmes convulsifs. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir, mon gland trempe dans mon sperme dans son vagin. Elle se retourne ... et me sourit. Elle se relâcha finalement en me souriant, se relèva, à la recherche de ses sous-vêtements, enfila sa culotte. Je passai derrière elle, et lui agrafai son soutien-gorge. Pris de tendresse, je l'embrassai dans le cou, et l'enlaçai pour aller caresser ses seins.
- il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose.
Elle remit sa robe, puis colla son corps contre le mien pour m'embrasser passionnément. Quand je ressortis, elle est déjà retournée au bureau
- Oh c'est bon ! ... Merci !





- Tu sens mes seins sur ton torse qui se frottent doucement ?
- Je sens ton sexe qui grandit et s'allonge en moi !
- Prends moi encore ! Bien au fond !
J'éprouvai alors une véritable jubilation en sentant mon sexe dur glisser de nouveau dans ses chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, fasciné par ses gros seins se balançant doucement devant mes yeux, je me laissai alors emporter par ma fougue de mâle. Agitant vivement ses hanches, elle se fit joyeusement coulisser sur moi et moi, je goutai les moiteurs chaudes de ce cocon de chair m'aspirant comme un poulpe, j'éprouvai un plaisir extrême à sentir ses chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue. Sous les chocs répétés de mon gland volumineux, elle ne tarda pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de ses entrailles irradiées. Haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupa le souffle, elle poussa un cri, resta un moment comme tétanisée. Je voyais qu'elle se retenait de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essayais d'en faire autant. Serrant ses jambes sur mes cuisses agitées, elle m'emprisonna entre ses lèvres trempées :
- Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !…
De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant mon bas-ventre et mes bourses. Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de mon amante, je m'activai de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser ma verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nous affolant encore plus. Sous son corps en sueur, elle s'était mise à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Je ne tardai pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de mon sexe prêt à exploser, elle avait compris que j'atteignai le point de non retour, aussi m'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses m'empêchant de m'extraire de son vagin affamé.
Alors tel un cheval pressé de retrouver sa chaude ecurie, j'accélérai encore le mouvement saccadé de mes reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Nos deux corps mélangés se sont mis à vibrer. Elle m'aspira fort. Sous ses baisers brûlants je me sentais défaillir contre son corps agité de plusieurs spasmes violents.

Et dans un véritable feu d'artifice ... je déchargeai ma semence ... à longs traits dans sa vulve accueillante, je laissai jaillir dans son ventre une chaude liqueur, fruit de mon orgasme. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du ventre de Lea.
Elle se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla a mes gémissements plaintifs.
Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous moi, son jeune amant moi aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants nous restâmes ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes.
Puis la première à reprendre ses esprits, Lea se separa de mon corps devenu trop lourd, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal :
- Tu m'en as mis des litres, s'exclama-t-elle en se penchant sur moi pour m'embrasser tendrement… J'en ai de partout…
- C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ?
- J'ai adoré ! On va remettre ça !