Il s'affaira sur moi, écarta ma culotte, baissa son pantalon, sortit sa queue, glissa son gland dans ma fente, je me cambrai et, d’un coup de rein, Il engloutit son sexe jusqu’aux couilles. Il réagit, fit deux ou trois va-et-vient, il buta au fond de moi. Et très vite, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter. Je resserrai mon vagin, il ne tint pas plus longtemps, il déchargea en moi. À chaque secousse je sentis ses jets de foutre. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait, m'envoyait une dernière giclée, se vidait, puis s’enfournait jusqu’au fond, ne bougeant plus.
Il resta là un moment, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Son foutre abondant commençait à couler hors de ma fente. Je le repoussai doucement, la verge ressortit en diminuant doucement de volume.
Lorsqu'il s'est complètement retiré de moi, je me redressai et je regardai vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi intense. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. Ma robe tirebouchonnée et ma culotte trempée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et gonflée, entièrement imprégnée de son sperme. Mes seins étaient couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait sur mes cuisses. J'étais ouverte comme jamais. Il gisait assis devant moi avec son sexe gluant posé lamentablement sur son bas-ventre.
- Eh bien mon ami ! ... Qu’est-ce que tu m’en a mis !