Sa voix est chaude et un peu rauque. Ses seins lourds débordent du décolleté, les pointes se détachent en relief sous le nylon.
- Ils sont à ton goût ?
J’ai l’impression de manquer d’air tout à coup.
- Tu peux les caresser tu sais !
Je tente de me ressaisir. Elle s’approche de moi à me toucher et je m’étrangle en respirant son parfum. Je sens la chaleur de son corps et les pointes de ses seins qui me chatouillent la poitrine.
- Dis moi ? ... c'est pour moi là ... plus bas ?
- Comment ca une réaction physiologique ?
Elle se colle à moi et m’enlaçe ... elle me tend ses lèvres. Je tente de resister mais mon désir monte, presque douloureux. Elle se colle à moi. Je sens ses seins s’écraser sur mon torse, un baiser sur mon cou et une main qui vient tâter délicatement ma vigueur de mâle.
- Dis moi , ta réaction physiologique s’est bien développée !
J'ai le corps en feu.
- Cool Paul ! Vas-y, laisses-toi aller, la vie est belle.
J'ai du mal à garder une contenance
- Paul ! je sens ton regard sur mes seins ! ... Et ça m’excite !
Elle a glissé une main sous son chemisier et se caresse un sein. Et d’un geste très naturel, elle défait ma braguette et extirpe mon sexe douloureux. elle se penche, m’avale le sexe tout entier puis me suce langoureusement. Dieu que c’est bon ! Je me raidis sous la caresse J’ai l’impression que mon âme est aspirée par sa bouche. Le plaisir monte, monte jusqu’au jaillissement dans une telle jouissance que j’en ai des éblouissements lumineux. Elle se redresse d’un petit air satisfait.
- Te voilà soulagé ! ... Ça t'as plu ?
Je sens bientôt un pied nu chercher le mien je m’abandonne à la caresse. elle se colle contre moi, m’enlace, se frotte. Sa main tâte de nouveau mes reliefs.
- Hé Paul, tu sais quoi, il y a ton érection qui t’as repris ! ... Et moi .... Je mouille !
Elle commence à me masturber sur le tissu tout en continuant à se frotter sur moi. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire bander comme un taureau. De nouveau, elle se colle à moi, elle m’enlace et m'embrasse, nos langues se mêlent et mon esprit s’emballe. Quelques frottis frotta puis je sens mon sexe aspiré par une main volontaire. Sans avoir le temps de réagir, je me sens d'un coup aspiré en elle. Je la penetre, elle m'engloutit.
Un étui chaud et humide entoure petit à petit ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle absorbe mon sexe, le masse doucement, interminablement, contractant ses muqueuses. Ces lente pénétrations affolent nos sens. La sensation est délicieuse, affolante. Je la sens maintenant toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. Elle savoure ses propres sensations et les miennes. Elle me sourit et se penche vers mes lèvres. Elle se soulève un peu et se baisse à nouveau, les yeux à moitié fermés, Elle s'agite, s'empale un peu plus, sur mon sexe qui se tend et s'allonge dans ses chairs. Une penetration puissante. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse, s'applique, en jouant de mon corps. Je me soulève un peu lorsqu'elle se retire pour mieux venir me perdre au plus profond d'elle.
Elle porte une nuisette de soie blanche que je caresse avec ferveur et qui ne cache pas grand chose. Elle est là face à moi, toujours provoquante. Ses seins palpitent doucement sous les dentelles. Je suis litteralement aimanté. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces ....Je suis tellement excité que j’éjacule très rapidement. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crus finir épuisé. Dix fois elle parvint à raviver mon désir. Elle me fermait la bouche d’un baiser m’assurant que j'étais le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvint encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi