Installée sur moi, empalée sur mon sexe, elle se masturbe allègrement en surveillant mes réactions Un étui chaud et humide entoure ma verge, l'engloutit et la brûle. Elle me regarde jouir, Ces pénétrations affolent nos sens. Je la sens toute entière autour de mon sexe, comme si tout son corps m'enserrait. elle absorbe toute la longueur de mon membre, Les contractions qui agitent son vagin font comme si une main serrait mon sexe dans son ventre. La sensation est affolante. Elle savoure ses propres sensations et les miennes. Ses mouvements déplacent mon sexe dans son ventre. haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air mon gland luisant, rouge, tendu. engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de mon membre ! Cette pénétration massive et rapide lui coupe le souffle, elle pousse un cri, reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'elle se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant.
Installée sur moi derrière le bureau, abrités des regards, Barbara prenait du plaisir à se masturber sur mon mat. La caresse de ses muqueuses sur ma verge était suave, divine, parfumée. Je me sentais, dur comme le bois, aspiré, suçé, coulisser délicieusement dans son ventre. Elle se penchait en avant, montait et descendait sur moi, rythmant les mouvements au gré de son plaisir, je découvrais cette sensation délicieuse d'une partie de mon corps massé dans son ventre, glissant en elle comme dans du beurre. J'étais bien, elle prolongeait son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant au-dessus de moi m'excitait au plus haut point, j'avais besoin de les prendre, les caresser, les palper. Son regard devenait vitreux. Je bandais de plus en plus fort au fond de son vagin brulant. Je la tenais par les hanches et elle soulevait son bassin puis s'empalait de nouveau avec un soupir de satisfaction en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois. Je voyais ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum. Plantée à fond sur moi, elle remuait pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourageait à lui en donner encore plus !
Son corps, ses seins, son dos étaientde ceux qu’on n'en finit pas de caresser, je lui palpais les seins et elle fermait les yeux, elle s’abandonnait toute entière. peu à peu, les plaintes se transformaient en gémissements. Elle s'ouvrait totalement à moi. Elle m'accueillait dans son ventre était chaud qui m’enserrait, me pressait. Son intérieur était si humide que je touchais le fond à chacun de mes mouvements. Je la regardais droit dans les yeux pour retarder l’explosion qui guettait. Elle coulissait sur moi avec retenue, se retirant à chaque fois pour mieux goûter au plaisir de se faire pénétrer à nouveau. Je voyais ses prunelles bleues s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres.
- c'est si bon ! Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds.
La vibration devenait communion, les deux corps ne faisiaent plus qu’un, les chairs étaient fusion, les fluides et les odeurs se mélangaient. Elle ondulait de la croupe, lubrifiant mon mat de ses fluides amoureux.
- Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie.
Son apparent désarroi décupla son excitation ... et la mienne. Elle se contracta, le souffle de plus en plus court, elle accéléra la cadence, se déchaîna sur moi, ses seins ballottaient de droite à gauche, elle se mit à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se mit à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouissait au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Ce prodigieux spectacle déclencha chez elle et moi une jouissance toute aussi intense. Un plein récital. Je me déchaînais sans ménagements tandis qu'elle se mettait à crier toujours plus, Je voulus me retenir, mais malgré moi, je me sentis venir. Je ne pouvais plus rien empêcher et j'expulsais mon sperme bien au fond dans son ventre, je jouissais à n'en plus finir, elle le ressentit et m'encouragea,
- Oui ! Continue ! C'est bon ! Remplis moi bien !
Je jouissais en elle, un flot de sperme giclait par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! J'étais comblé! et elle aussi ! Nous nous sommes affalés l'un sur l'autre, vidés de nos substances. Je sentais couler nos sécrétions sur les cuisses gluantes de Barbara, le long de nos peaux moites, la respiration haletante. Elle se coucha sur moi, je serrai tendrement son visage contre ma joue, nous étions comblés, apaisés, heureux.
Elle déménagea dans une autre ville, je ne l'ai plus jamais revue.
Elle s'empale sur moi, en poussant un long râle, puis elle s'immobilise sur mon sexe fiché au fond de son ventre, pressé entre ses muqueuses tapissées de liquide amoureux. Un gigantesque frisson se met a l'envahir tout le long de son échine et s'installer dans sa nuque, je sens ses muscles vaginaux se contracter sur mon sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de son ventre, une onde intense se met a irradier son dos, son pouls bat de plus en plus fort ... Elle s’immobilise, mon sexe dur gonflé dans son vagin. Son visage se crispe... , tout son corps est ébranlé, je sens ses muscles se contracter autour de mon sexe. C’est violent, je m’entends émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de ses halètements. Ses allées et venues violentes sur mon sexe provoquent une forte houle de sensations fortes dans nos deux corps, elle continue à coulisser sur mon mat, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se font saccadés et encore plus brutaux : son plaisir et le mien s’annonçent, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’ai chaud... elle est en nage… Elle halète, je soupire, elle ahane, ses yeux sont rouges et exorbités, elle gémit, ses jambes serrent mes hanches, me rendant prisonnier de ses cuisses... La sueur perle sur son front et roule entre ses sourcils... Elle hurle ses encouragements. Je lui réponds d’un râle puissant, et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tend, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sens alors un jet liquide jaillir de moi ... une gerbe chaude qui se repand dans son ventre, quelques secondes, Elle retombe lourdement sur moi, et me souffle :
“Oh... c'est bon...”
Elle reste affalée sur moi, amorphe... Elle a joui et je l'ai remplie
Je me suis empalée sur lui, en poussant un long râle, puis je me suis immobilisée sur son sexe fiché au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Un gigantesque frisson s'est mis a m'envahir tout le long de l'échine et s'installer dans ma nuque, je sentais mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi, une onde intense s'est mise a irradier mon dos, mon pouls battait de plus en plus fort dans mes tempes... Il s’est immobilisé, son sexe dur gonflé dans mon vagin. Son visage s'est crispé... , tout mon corps fut ébranlé, je sentais mes muscles se contracter autour de son sexe. C’etait violent, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes sur son sexe provoquaient une forte houle de sensations fortes dans tout mon corps, Je continuais à coulisser sur son mat, furieusement, de plus en plus vite, mes mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux : son plaisir s’annoncait, telle la lave dans la cheminée du volcan, J’avais chaud... J'etais en nage…Je halètais, je soupirais, il ahanait, ses yeux etaient rouges et exorbités, je gémissais, j’enroulais mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils...J'hurlai mes encouragements. Il me répondit d’un râle puissant,
et puis ... les yeux crispés, tout son corps se tendit, comme tétanisé il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Je sentis alors un jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se repandit dans mon ventre, quelques secondes, et je retombais lourdement sur lui, et lui souffla :
“Oh... c'est bon...”
Je restais affalée sur lui, amorphe... il m'avait remplie