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dimanche 24 novembre 2024 - 21h30rech / rep
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(taille reelle)
Eva, la secrétaire remplaçante ()
Ce logiciel ne m'était guère familier. Enervé, j'appelais Eva la secretaire remplaçante. Elle entra souriante, refermant la porte derrière elle. Cheveux noirs, yeux bleus, corsage blanc qui avait peine à dissimuler une poitrine généreuse , Elle s'approcha et vint se placer debout près de moi, à ma droite afin d'accéder à mon clavier d'ordinateur et visualiser l'écran. C'est alors que je sentis sa poitrine contre mon bras. J'ai eu un petit sursaut d'excitation.
Je n'ai pas bougé, elle était en train de frotter son sein contre mon bras. J'ai accompagné le mouvement, en promenant mon coude le long de la douce rondeur, et j'ai entendu Eva pousser un petit soupir de contentement. à l'occasion d'une question, j'ai tourné la tête franchement dans sa direction. elle avait la main sur son autre sein et le caressait délibérément à travers sa chemise, tout en affectant de ne regarder que l'ordinateur,
j'ai cette fois-ci osé placer ma main sur son sein. J'ai commencé à le caresser doucement à travers son chemisier, le pressant doucement, j'entendais nettement les petits soupirs de plaisir se glisser dans la conversation.
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Il s'est placé derrière moi, puis il a glissé doucement ses mains sous mes seins, il découvrait pour la première fois mes poitrines. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge bien visible. Il promenait ses mains délicatement le long de mes seins, puis les serrais doucement, et recommençais. sentant cette fois-ci une douce chaleur. Il pouvait les palper, les caresser à loisir. Il était contre moi, mon cou contre ses levres, je fermais les yeux, laissant échapper quelques soupirs au gré de ses caresses. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents. Ses deux mains chaudes se posaient en coupe sous mes seins et les pressaient tendrement. Il plaqua ensuite ses doigts sur mes mamelons, cherchant à les enfoncer dans la masse laiteuse. Il recommenca plusieurs fois, empoignant cette fois mes seins à pleine main. Je sentais ses mains chaudes qui pressaient légèrement mes volumes mammaires, les palpait doucement pour en apprécier la souplesse. Puis il les rapprochait l'un de l'autre. Il les lâchait ... ils revenaient en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fit sortir mes pointes. Il enfonçait ses doigts, dans ma chair laiteuse, effectua de petits cercles concentriques et écrasa mes tétons. Je ressentais des ondes de chaleurs. Ses doigts n'en finissaient pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, je me cambrais pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. J'étais au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entendais geindre. Immobile, j'essayais de respirer lentement et profondément, ma vulve était envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. Il pétrissait mes seins, les frottait l'un contre l'autre, les déplaçait, arrachant à chaque fois en moi, un long ronronnement de bien-être. Il les palpait, les caressait. J'étais affalée sur ma chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de ses caresses.

Je me plaçais derrière elle, et je posais mon autre main sur son deuxième sein. Elle s'est aussitot positionnée face à l'écran, les mains sur le clavier... me laissant libre de lui pétrir ses belles poitrines. Je promenais délicatement mes mains le long de ses seins, puis les empoignais et les serrais doucement, et recommençais. J'écrasais les tétons à travers le vêtement, provoquant des violents soupirs de la part de Christa. Pendant tout ce temps, nous n'avions cessé de parler de programmation...Elle a soudain posé une main sur la mienne, et a commencé à me guider dans son chemisier. J'ai aussitôt plongé les deux mains dans l'échancrure, et j'ai recommencé mon massage, sentant cette fois-ci la douce chaleur des seins sans la barrière du tissu. Anna a déboutonné un peu son chemisier et l'a écarté, révélant ainsi son joli soutien gorge blanc qui enserrait ses seins bronzés. J'ai continué à les pétrir, les frottant l'un contre l'autre, les déplaçant en tout sens, arrachant à chaque fois un long ronronnement de plaisir. Enfin, comme je la sentais vibrer sous mes doigts, j'ai délicatement écarté le soutien-gorge et libéré ses gros seins qui tressautèrent comme s'ils étaient contents de s'échapper. Les tétons étaient marron foncés, bien durs, avec une large aréole à la base. Sans aucun tissu entre eux et moi, je pouvais maintenant les palper, les caresser, les tortiller et les chatouiller à loisir. Anna s'est renversée sur sa chaise avec un véritable gémissement de plaisir. Elle était affalée sur sa chaise, la tête renversée en arrière, les yeux fermés,
laissant échapper des gémissement continus de plaisir au gré de mes caresses. A un moment elle changea légèrement de position écartant très légèrement les jambes, je plaçais ma main devenue impatiente sur l'intérieur de sa cuisse gauche, à hauteur du genoux. Cette caresse magique changea son attitude , elle poussa un long soupir de plaisir, relevant la tête, cambrant son corps et écartant plus largement ses jambes. Je bandais terriblement.
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Soudain, elle se dégagea et m'échappa. Elle se diriga vers la porte du bureau, elle donna un tour de clé. Puis d'un geste prompt elle se débarrassa de sa petite culotte noire qu'elle jeta négligemment sur mon bureau, Je la laissais revenir vers moi, toujours assis sur mon fauteuil, m'écartant du bureau. Elle vint vers moi, me fixa dans les yeux puis caressa mon pantalon a hauteur de mon sexe dur comme une barre, elle défit ma ceinture et fit glisser la fermeture éclair de mon pantalon. elle se positionna sur moi, prenant mon sexe à pleine main en le dirigeant à la verticale. Et elle s'enfonça lentement sur mon pieu. Elle guida ma queue tendue à l'extrême, mon gland turgescent glissait entre ses nymphes avec un léger mouvement de va et vient . Je continuais le mouvement du gland dans son puit maintenant mouillé et ruisselant.
d'un coup, n'y tenant plus, elle s'enfonçait sur mon sexe jusqu'au fond. Elle laissa échapper un cri, elle se laissait coulisser maintenant à un rythme beaucoup plus soutenu, j'avais dégrafé son soutien-gorge pour palper ses seins dénudés dans son corsage ouvert. Le rythme de mes coup de queue s'accéléra encore, mon bas ventre claquait contre le sien, nos halètements réunis devenait de plus en plus rapprochés.. Ma queue, gorgée de sang avait atteint sa taille maximum. Je sentis la jouissance et l'orgasme monter en moi, je déchargeais alors à quatre reprises, je sentis les spasmes de son vagin sur mon sexe encore tendu et devenu hyper sensible que je continuais à faire aller et venir en elle plus doucement.
Lentement elle se retira. Elle attrapa sa culotte et quelques Kleenex pour recueillir la semence qui s'écoulait le long de ses cuisses, remis tant bien que mal de l'ordre dans sa tenue et quitta furtivement le bureau me jetant un regard complice.
Quelques jours plus tard ma secrétaire était de retour, bronzée, en pleine forme.
- Ca été l'intérimaire ?
- Oui très bien , vous pouvez la retenir pour vos prochains congés.