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dimanche 24 novembre 2024 - 21h27rech / rep
--secr-08-cCollette6i@

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(taille reelle)
un corsage de soie tres ouvert ()
Elle est assise à quelques mètres de moi, elle consulte le catalogue. Je la regarde, ses poitrines somptueuses s'épanouissent dans un corsage de soie tres ouvert, provoquant. Je rêve des caresses que je pourrais lui faire. Je rêve de me placer derrière elle, de glisser doucement mes mains sous ses seins, de découvrir la douceur de ses poitrines généreuses et bien visibles sous son chemisier. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, légèrement comprimés dans leur soutien-gorge discret. Je rêve de promener mes mains délicatement le long de ses seins, puis les serrer doucement, et recommençer. Je sens déjà sa douce chaleur. Je rêve de les palper, les caresser à loisir.
Elle ferme les yeux. Je m'avance vers elle. Elle ne réagit pas. Sa douce chair laiteuse contraste avec ses aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevent des tétons turgescents. Elle lache le catalogue qui glisse sur le sol. Mes deux mains chaudes se posent maintenant en coupe sous ses seins et les pressent tendrement. Je plaque ensuite mes doigts sur ses mamelons, cherchant à les enfoncer dans la masse laiteuse. Je recommence plusieurs fois, empoignant cette fois ses seins à pleine main. Elle sent bien maintenant mes mains chaudes qui pressent légèrement ses volumes mammaires, les palpe doucement pour en apprécier la souplesse. Puis je les rapproche l'un de l'autre. Je les lâche ... ils reviennent en place dans de légers tremblements. Cette action répétée fait sortir ses pointes. J'enfonçe mes doigts, dans sa chair laiteuse, j'effectue de petits cercles concentriques et écrase ses tétons. Elle ressent des ondes de chaleurs. Mes doigts n'en finissent pas de la traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne compte plus, elle se cambre pour mieux offrir ses poitrines gonflées d'excitation. Elle est au bord de l'orgasme….. Les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de ses cuisses crispés à l'extrême, je l'entends geindre. Immobile, elle essaye de respirer lentement et profondément, sa vulve est envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. Je pétris ses seins, les frotte l'un contre l'autre, les déplaçe, arrachant à chaque fois en moi, un long ronronnement de bien-être. Il les palpe, les caresse. Elle est affalée sur sa chaise, la tête penchée de coté, laissant échapper un gémissement continu de plaisir au gré de mes caresses. Mais ... Je rêve.