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dimanche 24 novembre 2024 - 21h37rech / rep
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(taille reelle)
dans l'ascenseur ()
La jeune femme s’adossa contre la paroi de l'ascenseur bloqué. Des gouttes de suée commençaient à perler de son front.
- Ca ne va pas ? lui demandai-je
- Oh, excusez moi, Je… Je suis… Claustrophobe…
Elle était toute blanche. Elle avait ouvert un bouton de sa veste et se passait la main sur le cou pour se détendre.
- Est-ce que… Est-ce que je peux faire quelque chose ?
Je me plaçais derrière elle et commença à lui masser le cou. Elle semblait se détendre
- Ca va mieux ?
- Oui ... Merci !
- Je continue ?
- Oui… S’il vous plaît…
Je me rapprochais encore plus d’elle. Ma bouche était toute proche de son cou. Elle respirait très fort. Son haleine était chaude et rassurante. Elle se sentait mieux, visiblement. Elle commençait à se détendre. J'avais maintenant mon ventre collé contre son dos. Elle se serra un peu plus contre moi et laissa échapper un petit soupir de contentement.
- Vous êtes très… efficace, Merci.
Son odeur me rendait fou. Je penchais la tête et posais légèrement mes lèvres sur sa nuque.
- Continuez ... Merci…
Elle se laissa faire et elle reprît son geste de se caresser le cou avec ses deux mains cette fois. Tout en continuant de l’embrasser dans le cou, l’une de mes mains s’aventurait maintenant plus bas, sur ses hanches puis remontait plus avant, à la rencontre des ses deux seins. Sous mes doigts, ses seins se durcirent immédiatement. Elle soupira à nouveau et se frotta un peu plus contre moi. Elle retira la pince dans ses cheveux qui tombèrent aussitot sur ses épaules. Je passais mes mains tantôt dans ses cheveux, tantôt sur sa poitrine. Elle se frottait de plus en plus à moi. Cela semblait la rassurer, ou plutôt, l'exciter.
Elle se retourna brutalement ... m'embrassa sur les lèvres puis me déboutonna hâtivement les boutons de ma chemise. Elle m'enleva ma veste qui rejoignait son tailleur sur le sol de la cabine. Sur ma poitrine nue, elle passa ses lèvres de manière sensuelle, s’attarda sur les tétons durcis les suçant lentement et habilement. Puis ayant perdu toute retenue, elle sortit mon sexe déjà bien raide de mon pantalon et, de ses deux mains, la serra doucement et délicatement. Elle baissa entièrement sa culotte et fit glisser sa jupe sur le sol. Elle dirigea mon sexe vers sa chatte trempée. Je m’enfonçais doucement en elle, lui soulevant une jambe pour qu’elle se cramponne à moi. Elle poussa des petits cris. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides. La cabine de l’ascenseur commença à bouger. Son corps tremblait de partout. Des gouttes de sueurs le recouvraient entièrement. Ses cheveux étaient en bataille. Ses yeux étaient hagards. Sa bouche dégoulinait de rouge à lèvres. Je m'enfonçais d’un coup et éjaculais au fond de son ventre. Elle s’adossa contre la paroi et ferma les yeux.
- Oh merci ! Je crois que je vais mieux !