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dimanche 24 novembre 2024 - 21h26rech / rep
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(taille reelle)
exploration plus intime ()
Je me plaçais derrière elle, et je posais ma main sur son épaule pour l'encourager. Elle était face à l'écran, les mains sur le clavier... me laissant libre de mes gestes affectueux. Encouragé, je glissai l'autre main sur l'autre épaule, puis plus bas, dans l'échancrure de son large décolleté. Je promenais délicatement ma main sur le haut de son sein que je sentis frémir et grossir, puis les empoignais et les serrais doucement, et recommençais. J'écrasais les tétons à travers le vêtement, provoquant chez elle de violents soupirs. Pendant tout ce temps, nous n'avions cessé de parler de programmation...
Elle a soudain posé une main sur la mienne, et a commencé à me guider dans son chemisier. J'ai aussitôt plongé les deux mains dans l'échancrure, et j'ai recommencé mon massage, sentant cette fois-ci la douce chaleur des seins sans la barrière du tissu. Anna a déboutonné un peu son chemisier et l'a écarté, révélant ainsi son joli soutien gorge blanc qui enserrait ses seins bronzés. J'ai continué à les pétrir, les frottant l'un contre l'autre, les déplaçant en tout sens, arrachant à chaque fois un long ronronnement de plaisir. Enfin, comme je la sentais vibrer sous mes doigts, j'ai délicatement écarté le soutien-gorge et libéré ses gros seins qui tressautèrent comme s'ils étaient contents de s'échapper. Les tétons étaient marron foncés, bien durs, avec une large aréole à la base. Sans aucun tissu entre eux et moi, je pouvais maintenant les palper, les caresser, les tortiller et les chatouiller à loisir. Anna s'est renversée sur sa chaise avec un véritable gémissement de plaisir. Elle était affalée sur sa chaise, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, laissant échapper des gémissement continus de plaisir au gré de mes caresses. A un moment elle changea légèrement de position écartant très légèrement les jambes, je plaçais ma main devenue impatiente sur l'intérieur de sa cuisse gauche, à hauteur du genoux. Cette caresse magique changea son attitude , elle poussa un long soupir de plaisir, relevant la tête, cambrant son corps et écartant plus largement ses jambes. Je bandais terriblement. Ses cuisses s’ouvrirent, ses petites lèvres s’entrebâillèrent. Mes doigts effleuraient, s’attardaient, puis s'introduisirent en elle. Je sentais sous mes doigts un endroit chaud et moite. l'humidité s'intensifia. Mon doigt fut comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonça entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Deux caresses plus intimes, plus profondes, tout son corps se raidit, sa tête brinquebala, elle chavira, une coulée de plaisir se répandit dans son corps. Ses muscles se contracterent, son cœur battait la chamade. Elle se mordit les lèvres, ses cuisses se resserrerent et emprisonnaient ma main. Puis ... Elle retomba ... inerte, en sueur. À lire le désir qui décrispait ses traits fins, je réalisais combien cette femme était attirante. Quand sa bouche, soudain, se colla à la mienne comme une ventouse. Puis nos langues se confondirent longuement.
- Je m’appelle Viviane. Dit-elle entre deux soupirs. Et vous ? Jérôme. C’est charmant, ça vous va bien.
Et soudain, d’une main sèche, elle lâcha sur le sol les dossiers qui l’encombraient, elle se dégagea, se diriga vers la porte du bureau, elle donna un tour de clé. Puis revint vers moi. Sa jupe partit presqu'aussitôt au sol. Puis, assise sur le bureau, son collant noir à demi roulé sur ses cuisses légèrement écartées, elle me désigna de l’index sa chatte brune comme une cible sans détour.
- Jérôme, je veux que vous me preniez, là sur votre bureau.
D'un geste prompt elle se débarrassa de sa petite culotte noire qu'elle jeta négligemment sur mon bureau. Elle me fixa dans les yeux puis caressa mon pantalon, elle se positionna sur moi, prenant mon sexe à pleine main en le dirigeant vers elle. Et elle s'enfonça lentement sur mon pieu. Elle guida ma queue tendue à l'extrême, mon gland turgescent glissait entre ses nymphes avec un léger mouvement de va et vient . Je continuais le mouvement du gland dans son puit maintenant mouillé et ruisselant.
d'un coup, n'y tenant plus, elle s'enfonçait sur mon sexe jusqu'au fond. Elle laissa échapper un cri, elle se laissait coulisser maintenant à un rythme beaucoup plus soutenu, j'avais dégrafé son soutien-gorge pour palper ses seins dénudés dans son corsage ouvert. Le rythme de mes coup de queue s'accéléra encore, mon bas ventre claquait contre le sien, nos halètements réunis devenait de plus en plus rapprochés.. Ma queue, gorgée de sang avait atteint sa taille maximum. Je sentis la jouissance et l'orgasme monter en moi, je déchargeais alors à quatre reprises, je sentis les spasmes de son vagin sur mon sexe encore tendu et devenu hyper sensible que je continuais à faire aller et venir en elle plus doucement.
Lentement elle se retira. Elle attrapa sa culotte et quelques Kleenex pour recueillir la semence qui s'écoulait le long de ses cuisses, remis tant bien que mal de l'ordre dans sa tenue et quitta furtivement le bureau me jetant un regard complice.
Quelques jours plus tard ma secrétaire était de retour, bronzée, en pleine forme.
- Ca été l'intérimaire ?
- Oui très bien , vous pouvez la retenir pour vos prochains congés.